Mehdi Jomaa... avant de remettre les clés
De nombreuses invitations affluent sur le bureau du chef du gouvernement. Harvard, l’ONU, l’Italie, l’Espagne et le Maroc veulent en effet recevoir Mehdi Jomaa. A Boston, les étudiants et chercheurs de Harvard souhaitent l’écouter sur l’expérience tunisienne et les facteurs de sa réussite. A New York, c’est le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, qui l’invite avec insistance, «le plus tôt possible». Gardant une bonne impression de leurs entretiens début octobre à Tunis, il aimerait approfondir avec lui leurs échanges sur la situation dans la région. Au Maroc, c’est un prix prestigieux qui lui sera décerné.
Le voilà donc faire ses adieux et donner une série de conférences à l’étranger, avant de prendre de nouvelles fonctions en Europe, fin février prochain.