Oussama Lahmar: Tout ce qu'il faut savoir sur COVID-19
Depuis son apparition le « virus » nommé COVID-19 a mis le monde que nous connaissant à genoux. Plusieurs informations ont été relayées un peu partout, internet, médias, réseaux sociaux, radios, magasines scientifiques …etc.
Informations souvent contradictoires, Même celles données par les Etats qui font un travail acharné pour lutter contre cette épidémie, ne reflète pas la réalité exacte de ce phénomène.
Une certitude néanmoins émerge au milieu de ce flux d’information chaotique :il nous manque une partie de l’histoire et de l’origine de l’apparition de ce virus.
Peut-on alors affirmer dans ce contexte que les Etats commencent à maîtriser ce Virus et ont-ils trouvé la solution ?
Cet article présente une analyse et une schématisation de ce phénomène, c’est un travail de recherche qui a été effectué sur la base d’une corrélation et des «examens» approfondies des informations relayées et une analyse scientifique des événements.
Un travail de liaison a été aussi élaboré pour arriver à décortiquer ce phénome et exposer la solution.
De la «Data mining» très poussée nous a permis de relayer tous les événements ainsi que toutes les informations, par laquelle nous avons essayé d’identifier la source.
Dans cette étude trois questions ont été posées et nous allons y répondre d’une manière assez objective :
1- D’où vient le virus?
2- Comment il s’est propagé dans le monde?
3- Quelle est la solution pour éradiquer le virus?
Chacune de ces questions ont été étudiées avec la plus grande précision suivant un processus d’analyse basé sur une logique et des preuves scientifiques identifiées au préalable.
Le virus est venu certainement de Chine mais son arrivée a été bien étudié ainsi que sa propagation dans le monde et les mécanismes à travers lesquels il a envahi les différents pays.
Une explication de ce phénomène détaillée nous mène aussi à des solutions sur plusieurs niveaux applicables sur notre territoire et c’est avec des preuves tangibles que cette étude s’applique.
Notre but ne réside pas seulement dans l’identification de l’inconnu, le mesurer (en risque) et d’en faire ressortir les solutions pour le déraciner, mais aussi de se positionner au niveau géopolitique et d’adopter une stratégie nationale à ce niveau capable de lutter à court et à moyen terme contre les phénomènes.
En effet nous sommes actuellement en «guerre colorés» sous diverses formes, guerre froides, guerre cybernétique, guerre biologique. Et à ce stade on commence à parler de la «Gouvernance par le chaos» un terme utilisé par les Etats qui jouent différents rôles dans cette pandémie.
Les directives de confinement ainsi que les autres décisions prise en amont reflètent « une stratégie mondiale de gouvernance », et un contrôle total des peuples.
Une instrumentalisation faite pour entrer dans cette ère avec la naissance d’un nouveau phénomène politique mis en place par tous ces Pays alliés souhaitant garder le monopole économique dans un intérêt commun.
Un grand projet de grande envergure commence à voir le jour, avec la volonté de protéger la population, en utilisant des mesures choques, consistant à verbaliser et mettre des personnes en prisons (qui n’ont pas d’autorisation de circulation à titre d’exemple ou sorti pour faire des courses ou du sport) d’une part et tout en donnant des directives pour vider les prisons d’autre part.
Et pour conclure cette partie, on rappelle la citation de «Jacque Attali» un grand écrivain et économiste français:
«L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que quand elle a vraiment peur»
Il est à noter que l’utilisation de la santé comme un argument dans toutes les décisions politiques marche plutôt bien pour reprendre le contrôle des peuples, en utilisant tous les moyens telle que la technologie nouvelle.
D’où vient le virus?
Définition: Les coronavirus sont un type de virus qui ressemble à une sphère au microscope, qui présentent des protubérances semblables à une couronne. Le virus a un diamètre de 75 à 160 nanomètres et possède une enveloppe lipidique à l'extérieur, avec un large intervalle de protubérances disposées sur la membrane.
Le COV-19 ou le SARS-CoV-2(COVID19) Appartient au Betacoronavirus, dont le virus respiratoire-respiratoire du SRAS (SARS-CoV1), le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV),
Plusieurs conclusions chinoises ont mené qu’il existe trois catégories du COVID-19(A, B et C) et que le virus mute d’un pays à un autre. D’autres conclusions scientifiques démontrent que le virus n’a pas été créé en laboratoire et qu’il n’a pas été modifié dans sa composition.
En effet le virus COVID-19 est un virus mutant et qui a voyagé d’un pays à un autre à travers un circuit Physique, Chimique et Scientifique, et malgré les tests effectués dans les laboratoires rien ne prouve encore sa source d’origine et s’il s’agit d’un Virus naturel ou anthropique.
L’origine de l’épidémie n’est certainement pas liée à des animaux se trouvant au marché de la ville de « Wuhan » en Chine, en effet le premier cas identifié n’a pas visité ce marché, confirmé par une étude chinoise menée à l’hôpital de Wuhan sur 47 patients par un groupe de chercheurs chinois publié dans la revue « The LANCET ».
De plus, plusieurs autres études nous prouvent que le COVID-19(SARS-COV-2) est semblable au SARS-CoV-1 de 2002 et au MERS-CoV de 2012, citons à titre d’exemple (wiley online library, Biorxiv, journal de L’American society for microbiology).
Pour mieux décortiquer la source du COVID-19, un tracing des évènements s’est avéré important :
Juillet 2011, en présence de «Sylvie Bermann», Ambassadeur de France en chine, de « Chen Zhu » Ministre de la santé Chinois (ancien directeur adjoint de l’Académie des sciences de Chine 2003) et des hauts responsables de la ville de « Wuhan », il y a eu l’inauguration des débuts de travaux du laboratoire P4 de Wuhan en coopération Sino-française.
Ce laboratoire conçu par le « cabinet d’Architect français Touret » qui s’inscrit dans la mise en œuvre de l’Accord intergouvernemental de lutte contre les maladies.
Février 2017, en coopération avec « le laboratoire P4 Inserm jean Mériaux de Lyon », Le P4 de la ville de « Wuhan » a vu le jour sous la direction de « Yuan Zhiming » originaire de la province de « Hubei » qui a fait toutes ses études en France et qui est un pionnier dans les initiatives Sino-française.
En 2017, la Banque mondiale a émis des « obligations pandémies » pour financer la lutte contre les épidémies dans les pays pauvres, appelé dans les marchés Les «pandemic bonds».
Mars 2018, «Yuan Zhiming» considère qu’il faut établir une coopération internationale sur la prévention des risques biotechnologiques pour aider la santé "One Belt and One Road" ou autrement dit la route de soie. Ce projet évolutif qui s’est officialisé en 2015.
Mars 2019, l’Italie adhère à l’accord «One Belt One Road» avec la chine et y devient membre «grâce» à « Michele Geraci » un académicien et homme politique italien pro-Pékin chargé du commerce international au sein du Ministère italien du développement économique, qui parle couramment le mandarin et a longuement travaillé en Chine. Avec cette adhésion la Chine pourra frapper à « plein fouet » le continent Européen qui la considère en retour comme un «un Rival stratégique» d’après le président français «Emmanuel Macron».
Juin 2019, une sorte de maladie pulmonaire causé par un Virus a attaqué un certain nombre de personnes aux Etats unis et des fabricants de cigarettes électronique ainsi qu’un Laboratoire (Fort Derick) qui ont été soupçonné de cette fuite de Virus.
Mars 2020, «Kristian Andersen», professeur en immunologie et en microbiologie, confirme dans un communiqué de l’institut de recherche Scripps, que le COVID-19 provient d’un processus naturel.
Ce professeur déclare que «le COVID-19 provient d’un processus naturel», cependant rien ne prouve selon nos recherches qu’on ne pourra pas créer des formes mutantes très pathogènes de la souche du COVID-19.
Revenons au mois de Mars 2013, dans le cadre de la propagation de la Grippe A qui a touché la chine au Mois de Mars de la même année, un groupe de 22 chercheurs ont voulu entamer une expériences laboratoires par lettre afin de faire muter le virus et de le rendre plus sévère.
Donc la mutation des virus en laboratoires existe bel et bien mais reste toujours tabou parmi la communauté scientifique.
Certes il existe une explication scientifique sur l’existence du COVID-19, l’histoire commence en :
Décembre 2014, l’institut Pasteur a informé l’ASNSM (l’agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de santé) de la perte de plus de 2.349 tubes de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) deux mois après l’incident.
Octobre 2015, sur un vol Séoul-Paris, une scientifique de l’institut pasteur a transporté des échantillons du « MERS » mis dans une boite de cosmétique clandestinement en avion.
Plusieurs infractions émanant de la prestigieuse Fondation de recherche ont été détectées tel que le transport clandestin des virus dangereux, les pertes des tubes, et les ordinateurs volés contenant des données de recherches de laboratoires classées top confidentielles.
A la date Décembre 2016, l’ouverture d’une enquête judiciaire auprès du parquet de Paris contre l’institut Pasteur et c’est à la suite d’une fuite dans la presse Coréenne.
Soulignant aussi les relations économiques, commerciales, financières et culturelles entre la Chine et la Corée du Sud, et les déclarations du Consul Général de Corée à Wuhan «Jiang Chengxi»:
‘ Je suis convaincu que les deux pays vont vaincre l'épidémie dès que possible’ (D’après la China Economic Net).
Septembre 2015, dans le cadre de recherche sur l'émergence du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV) et du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) -CoV, une expérience a été menée à « l'Université de Caroline du Nord au laboratoire Chapel Hill » publiée en 2015 dans « Natural Medicine ». Dans laquelle les chercheurs ont utilisé le système génétique inverse SARS-CoV pour générer et identifier un virus chimérique de type SRAS (SHC014-CoV souche coronavirus de la chauve-souris). Le but étant de crée un virus chimérique exprimant le pic du coronavirus SHC014 de la chauve-souris dans un squelette SARS-CoV adapté aux souris.
Dans ce cadre plusieurs expériences ont montré que le virus peut infecter les cellules respiratoires humaines sans passer par un hôte intermédiaire et reproduire le risque de transmission similaire au SRAS.
Cette étude a été menée par le premier auteur « Vineet D. Menachery » ainsi qu’un groupe de plusieurs chercheurs notamment « Shi Zhengli » actuellement le directeur du Centre de recherche sur les nouvelles maladies infectieuses « Wuhan Virus Institute », il est aussi le directeur adjoint du Wuhan National Biosafety Laboratory (niveau 4) et le directeur du Biosafety Level 3 Laboratory d’après le site officiel du laboratoire.
Il est à rappeler que la ville de « Wuhan », a le statut administratif de ville sous-provinciale qui lui donne une complète autonomie dans le domaine économique.
A partir de Whuan des vols internationaux réguliers sont assurés à destination des villes de New York, Singapour, Tokyo, Rome, Dubaï, Paris, Sydney, Bangkok, Moscou, Istanbul, Osaka, Séoul et San Francisco et Londres, ainsi que trois vols par semaine en direction de « l’aéroport Charles de Gaule ».
Ainsi les premiers cas en France datent du 24 Janvier 2020, trois personnes ayant séjournée à « Whuan ». Et en Italie, à la date du 31 Janvier 2020 des touristes chinois testés positifs à Rome.
Parallèlement à l’évolution de cette pandémie la chine acquiert un monopole économique et surtout elle gagne « le monopole de la générosité » avec les autres pays.
D’après donc nos conclusions le SARS-CoV-2(COVID19) est un SARS-CoV-1 ou (MERS-CoV), muté en laboratoire.
Comment le COVID-19 s’est-il propagé dans le monde?
Tout d’abord, partant du principe que Le coronavirus humain se propage par les voies respiratoires. Observons maintenant ces deux images (source : Wikipédia) :
Ces deux cartes l’une en rouge reflète la propagation des cas de COVID-19 dans le monde et la deuxième la propagation du CO2 dans le monde.
Si on vérifie bien au niveau des deux cartes on retrouvera une ressemblance flagrante. En effet les endroits les plus touchés par le coronavirus dans la première carte en rouge sont les mêmes endroits les plus touchés par la pollution sur la deuxième carte en vert, citant à titre d’exemple, «l’Afrique de sud»
Donc la pollution joue un rôle d’une grande importance dans la propagation et fournit au virus un espace de reconstitution favorable afin de se déplacer facilement.
Une équipe de chercheur dirigé par un virologue Britannique « Curits Suttle » a essayé de déterminer la relation entre les virus, les bactéries et la pollution.
En effet, selon « l’International Society for Microbial Ecology Journal » ces chercheurs ont trouvé que « l'aérosolisation de la poussière du sol et des agrégats organiques dans les embruns facilite le transport à longue distance des bactéries et probablement des virus à travers l'atmosphère libre ». Et d’après ce même virologue un virus pourrait probablement être transporté par l’air dans l’atmosphère d’une région à une autre dans le monde.
A ce stade il est à noter que la chine essaye de combattre la pollution, ainsi à « Whuan », l’Agence de l’environnement écologique de la Ville a publié un plan de mise en œuvre de la lutte contre la pollution agricole et rurale de la ville de Wuhan datant de 29/11/2019.
Décembre 2019: les autorités de la ville de Wuhan donnent des conseils de santé : « Il est recommandé aux enfants, aux personnes âgées et aux patients souffrant de maladies cardiaques et respiratoires de réduire les activités de plein air à long terme et à haute intensité ».
Mis à part l’atmosphère, les virus sont aussi transportés en avion, l’un des moyens de transport les plus sûr en termes de sécurité mais moins sûr en termes de contamination.
Nous n’allons pas énumérer toutes les études publié autours de la possibilité de contamination des gens en plein vol, mais nous allons parler d’un phénomène très brièvement qui peut aider à la propagation de particules fines non visible causant plusieurs maladies à long terme aux passagers et aux personnels naviguant.
C’est le phénomène de « Fume évent », qui est un évènement qui se produit souvent en plein vol. De l’air chaud qui est prélevé sur les sections de compresseur du turboréacteur, ensuite reconduit dans des canalisations afin de le refroidir et enfin envoyé au climatiseurs cabine.
Lors d’un incident ou une fuite d’huile au niveau du moteur des particules toxiques dues à cette fuite passent dans les canalisations et se propagent dans la cabine causant ainsi des évanouissements et des intoxications etc. Et qui mènent donc à une pollution de l’air de cabine.
Quelle est la solution pour éradiquer le virus?
La croissance rapide du domaine de la biotechnologie et le progrès continu de la science ont ouvert des perspectives pour la prévention et la guérison de nombreuses maladies, mais en même temps ont augmenté les possibilités de développement de nouvelles maladies mortelles.
Dans cette partie nous exposons deux méthodes afin d’essayer d’éradiquer le virus ou pour décontaminer les endroits où il se trouve, en se basant sur la Biophysique.
Partant de ce principe, Les éléments importants agissant sur la qualité de l’air sont :
• la température
• le taux d’humidité
• le niveau d’ionisation.
Tout d’abord, il est nécessaire de discuter de la température d'adaptation du coronavirus
==>Le coronavirus ne vit pas dans des températures élevées.
Ensuite, la température et le taux d’humidité influence sur la quantité de « formaldéhyde » qui est un gaz inodore, incolore et cancérigène qu’on retrouve à 80% dans l’air intérieur, et peut causer des allergies et des irritations de la peau, des voies respiratoires ou des yeux.
La température et l’humidité joue donc un grand rôle dans la survie du virus. L’interaction entre ces deux éléments donne ce qu’on appelle la « température perçue ». En effet, une température très élevée ou très basse peut nous poser des problèmes de santé ainsi un air très sec avec un taux d’humidité très élevé pourrait avoir des effets néfastes sur nos voies respiratoire, et un taux d’humidité très bas de même.
Une étude réalisée par la « National Institute for Occupational Safety & Health (NIOSH) » lors des expériences menées sur le virus de la Grippe, démontre que le virus se propage dans l’air beaucoup moins avec un taux d’humidité ambiante de 40% ou plus.
Parlons maintenant du niveau d’ionisation : il est défini comme étant l’ajout ou la suppression des charges à un atome devenant ainsi «un ion».
«Un ion est un atome ou une molécule portant une charge électrique, parce que son nombre d'électrons est différent de son nombre de protons. On distingue deux grandes catégories d'ions : les cations chargés positivement, et les anions chargés négativement »(source Wikipédia).
Notre terre contient toujours une grande quantité de charge mais la différence entre les ions négatifs et les ions positifs s’explique ainsi :
Les ions négatifs sont bénéfiques pour notre santé contrairement aux ions positifs. En effet on les appelle « la vitamine de l’air » par la communauté médicale car ils ont démontré une efficacité absolue dans le traitement de plusieurs maladies humaines et améliorent également l’immunité du corps et sa capacité à résister aux virus.
Les ions négatifs sont produits dans les endroits naturels, forêts, océans et autres. En effet ils contribuent pleinement à l’amélioration de la qualité de l’air.
Il est important de souligner le fait que les ions négatifs qui portent des électrons en excès détruisent automatiquement les structures protéiques et moléculaire des virus, donc ils jouent un rôle très important dans la désinfection.
Selon L'Institut provincial de microbiologie du Guangdong (Centre d'analyse et de test microbiologique du Guangdong) des expériences ont été menées et démontrent que les ions négatifs peuvent éradiquer efficacement plusieurs virus notamment celui de la grippe tel que le virus « H1N1 » à la hauteur de 99.87% selon le document suivant:
En ce qui concerne la génération des ions, il existe différents moyens technologiques par exemple des machines à ionisation.
Mais d’après nos recherches il s’avère qu’il y a un élément qui pourrait jouer un rôle très important dans la génération des ions négatifs, on cite le concept de « Lampe à sel ». C’est un bloc de sel qui est percé et dans lequel on place une lampe. C’est vrai que peu d’études scientifiques existent sur les bienfaits de ce principe, mais néanmoins on pourrait peut-être en partant du principe de l’ionisation inventer ou mettre en place une solution ayant comme base le sel !
Nous concluons que pour arriver à trouver une solution il faudra travailler sur les trois éléments cités plus haut (la température, le taux d’humidité et l’ionisation). Certes nous ne parlons pas de vaccin mais d’une science applicable contre ce virus qui pourra entre autres nous mener à des résultats fiables.
En dernier, et sans trop s’attarder sur le sujet, nous allons parler « du bronzage en cabine à UV » que la plupart des hauts responsables et hauts dirigeants ont peut-être utilisé, ceci pourra être vérifié en comparant entre les vidéos des apparitions récentes de ces dirigeants lors des élocutions destiné aux citoyens avec leurs anciennes vidéos.
En effet les Lumières UV, lumières invisibles pour l’œil humain sont produites par le soleil, il existe trois types de lumière UV ; les UVA, les UVB, et les UVC. Les UVA et UVB sont les seules lumières qui arrivent sur terre et les UVC sont filtrés car elles sont très néfastes voir dangereuse pour les être vivant en détruisant les cellules vivantes.
En vue de ces longueurs d'onde qui se situent entre 100 et 280 nanomètres, la lumière UVC appelé aussi lumière « Germicide » tue les bactéries et virus et perturbent leur ADN avec sa courte longueur d’ondes.
En guise de conclusion, nous préconisons les choses suivantes :
• Travailler sur une stratégie nationale de protection de l’environnement et la diminution de la pollution qui représente un facteur important dans la propagation du COVID-19.
• Mettre en place des tests utilisant les principes cités plus haut concernant la température, le taux d’humidité et l’ionisation.
• Collaborer avec des Physiciens, des médecins, et d’autres personnes travaillant dans le domaine des nouvelles technologies et de l’électricité afin de trouver une solution pour éradiquer le COVID-19 en s’appuyant sur les éléments proposés dans cet article tel que les lampes à sel et la lumière UVC.
• Financer les domaines de recherche en biotechnologie, en biophysique et dans la santé d’une manière générale.
• Travailler plus sur la maitrise de la gestion de crise lors des catastrophes naturelle et des pandémies.
Cette crise sanitaire mondiale a démontré la fragilité de la réponse collective face aux dangers qui menacent la sécurité sanitaire à travers le monde. La sécurité sanitaire doit au même titre que la sécurité du territoire et de la sécurité alimentaire et économique devenir une priorité.
Oussama Lahmar
Expert international en lutte contre la cybercriminalité et en investigation numérique légale.
Spécialiste en Géopolitique et en Data Mining