La Zitouna Sports: Un foyer de patriotisme et d’excellence

Par Dr Hassine Ben Azouz (1) - Dans le cadre de l’intérêt porté par les Tunisiens au sport, à l’orée du siècle dernier, de nombreux clubs sportifs ont vu le jour. Parmi ces derniers la Zitouna Sports, fondée en 1927 comme club sportif scolaire pour les étudiants de la Grande Mosquée Zitouna. Les trois étudiants fondateurs(2) sont : Taïeb Miladi, Hamadi Ben Azouz et Mohamed Salah Bargaoui(2). D’une équipe scolaire de football, à ses débuts, elle s’est rapidement dotée d’une section d’athlétisme (cross-country) en 1932 qui a eu le mérite de remporter, tout juste une année après, le championnat des équipes scolaires juniors de la régence. Cette équipe était constituée par Bechir Labanne, Hassen Ben Zayed et le fameux humoriste Salah Khemissi.
La mutation de ce club scolaire né en 1927 en club sportif civil s’est effectuée en 1936, une fois que les étudiants fondateurs ont achevé leurs études à la Grande Mosquée et après une courte pause. Ils décidèrent d’abandonner le football et de s’occuper des autres disciplines sportives pour les vulgariser auprès de la jeunesse tunisienne.
I - La continuité avec le mouvement de libération nationale
Les fondateurs et dirigeants de cette association sportive n’étaient pas isolés des autres dirigeants et patriotes tunisiens, loin de là.
Taieb Miladi (1908-2000)
Même s’il n’était pas affilié au parti destourien, il se trouvait au cœur même du mouvement de libération nationale dès l’année 1930, défendant les militants tunisiens devant les tribunaux.
Son profil de militant politique, de juriste et de réformateur social ajoutait beaucoup de valeur à son militantisme sportif au sein du bureau directeur de la Zitouna Sports qu’il a servie toute sa vie. À noter qu’il a payé le prix de son action politique quand la Main rouge a attaqué sa demeure le 27 novembre 1952 et a été emprisonné le 6 décembre 1952 avec Messieurs Fethi Zouhir, Mahmoud Messaadi, Taïeb Mehiri et autres militants(3).
Autre personnage familier qui a associé son nom à l’histoire du club lors de sa création et bien au-delà:
Hammadi Ben Azouz (1908-1978)
Descendant d’une famille algérienne soufie magistralement anticoloniale(4) qui a émigré de Biskra à Nefta en 1841-1843, il a consacré l’essentiel de sa vie à militer en vue de l’instauration et du rehaussement d’un sport national tunisien contrecarrant l’hégémonie coloniale et le sous-développement. Il s’était également lié d’amitié avec nombre de dirigeants et militants destouriens de la première heure, à l’instar de leur leader Behi Ladgham et également Taïeb Sahbani, Fethi Zouhir, Taïeb Mehiri et bien d’autres.
Ce dernier faisait d’ailleurs partie dès 1940 de la première équipe de volleyball tunisienne, en l’occurrence celle de la Zitouna Sports(5).
S’intéressant aux activités culturelles, il participe avec Tahar Sfar à la création du club La Jeunesse moderne(6) dans son quartier de résidence sis à El Halfaouine, à la rue El Kebda, et fondera plus tard avec Hassen Zmerli, Hammouda Maali et Mokhtar Kammoun la troupe théâtrale «Essaada»(7), troupe à laquelle participait également de 1928 à 1932 son frère spirituel Mohamed Salah Bargaoui, l’illustre troisième fondateur de la Zitouna Sports.
Mohamed Salah Bargaoui (1910-1967)
Fils de Maître Mohamed Lakhdhar Bargaoui, doyen des avocats du Kef, il était connu pour ses hautes qualités morales, son patriotisme et son militantisme pour l’émancipation de la société sur le plan culturel, social et sportif. Il a enseigné dans plusieurs écoles puis a été affecté comme fonctionnaire au gouvernorat de Tunis. Le journal «Al Amal» du 18 mai 1967 lui a rendu hommage, à l’occasion de son décès et a interviewé son compagnon de lutte Hamadi Ben Azouz qui a évoqué son riche parcours et ses exploits comme patriote dévoué à la cause nationale et à la promotion de la jeunesse tunisienne (emprisonnement au Kef lors du mouvement du 9 avril 1938, cofondateur de la Z.S., son rôle principal dans la création de la première équipe féminine tunisienne au cours de la saison sportive 46-1947). Abdelmajid Ben Amor Taïeb Ben Ammar Abdelhamid Fekih
Toujours dans cette ambiance d’élan nationaliste, je ne manquerais pas de citer un autre brillant dirigeant de la Z.S. qui a adhéré au bureau directeur en 1951, sur ordre du parti destourien dès son retour de France après des études d’ingénieur. Il s’agit d’Abdelhamid Fekih.
Il m’a raconté avec beaucoup de fierté et de bonheur que le premier travail technique qu’il a réalisé à Tunis a été le plan du nouveau club de la Zitouna qui a été construit à Sidi El Bahri, à la fin des années 40, sur les vestiges d’un cimetière abandonné, celui de Sidi Sofiène. C’était d’ailleurs la seule installation sportive édifiée par des Tunisiens et appartenant à des Tunisiens avant l’indépendance du pays(8).
Je termine cette démonstration sur l’étroite relation du militantisme sportif de la Zitouna avec le mouvement de libération nationale par cette information anecdotique véhiculée par les destouriens et confirmée par les anciens Zitouniens(9) consistant à identifier pendant quelques années le trésorier de la Zitouna Sports avec celui du parti destourien. Ce dernier étant en cette période- là dans l’impossibilité d’avoir un compte bancaire indépendant du fait de la loi martiale.
II - Le sport, autre vecteur de lutte du mouvement de libération nationale
Des associations sportives mixtes, comprenant des étrangers et des Tunisiens, ont vu le jour dans les deux premières décennies du siècle passé. D’autres se revendiquant comme étant spécifiquement tunisiennes à l’image des clubs d’AI Islamia, d’Al Nassiria, de l’Espérance sportive de Tunis, du Club Africain et de l’Etoile Sportive Goulettoise. L’ensemble de ces associations ont contribué à la formation de joueurs talentueux, convoités, sans retenue, par les équipes étrangères, fort à propos, riches en moyens de tentation pour la pépinière des jeunes(10). Mohamed Salah Bargaoui Moncef Klibi
La Zitouna Sports figure au nombre des clubs d’avant-garde ayant, par la détermination et la constance de ses dirigeants, permis l’éclosion et la diffusion en Tunisie du phénomène sportif en en faisant un outil de promotion du Tunisien dans un environnement colonial particulièrement hostile.
1- Défier l’occupant dans le domaine sportif et le concurrencer
La Zitouna Sports a opté pour la couleur rouge arborée du croissant et de l’étoile, à l’image du drapeau du pays. Cette tenue a été adoptée après l’indépendance par les équipes nationales tunisiennes. La Zitouna adopta alors les couleurs rouge et noir dans sa nouvelle tenue sportive.
C’est sans conteste la première association tunisienne à avoir pratiqué des disciplines sportives d’avant-garde, inconnues à l’époque, auprès des autres associations sportives islamiques tunisiennes ; à l’instar de l’athlétisme, déjà évoqué, du baseball, du basket-ball, du volley-ball, du handball et bien sûr du sport féminin.
En athlétisme, fer de lance du club, ce dernier a débuté par une section constituée d’à peine dix étudiants de la Grande Mosquée, entraînés sous la férule du valeureux Tahar Ben Abdallah.
Taïeb Saya
Au courant de la saison sportive 1934-1935, et en prenant à témoin le rapport moral de La Ligue tunisienne d’athlétisme rattachée à la fédération française(11), le club de La Zitouna Sports était l’unique association islamique affiliée, parmi un total de quinze clubs. Elle pouvait s’enorgueillir de ne pouvoir compter au sein de son effectif pas plus de dix-sept licenciés face à la pléthore affichée alors par les grands clubs français. A titre de comparaison, l’Orientale comptait 130 licenciés, le Club Sportif des Cheminots 83, l’U.S.T. 65, l’Italia 67, La Joyeuse Union 63, l’Union Sportive de Radès 24, etc.
Très rapidement, la Zitouna Sports aligna des champions en cross-country, concurrençant les joueurs des clubs français, à tel point que nombre de ses athlètes sont parvenus à devenir champions de Tunisie. Certains ont même pu battre des records en Afrique du Nord.Equipe (cadets) championne en cross-country-saison 1945-1946
Bechir Labanne: champion sénior sur 800 m et 1500 m (1934) ; Abdelaziz Chaouachi: champion sénior sur 100 m (1939), son record a duré 20 années; Habib Brik: 5 fois champion au cross de la banlieue, champion de Tunisie (1947 et 1948). Il a battu le record de l’Afrique du Nord des 5 000 m et 10 000 m; Sadok Gmati: champion junior sur 1 500 m (1948); Habib Bououn: champion des 5 000 et 10 000 m (1942) et champion des 3 000 (1944-1946…); Amor Barnaoui; Hassen Ben Zayed; Hssouna Jouini; Khelifa...
La Zitouna Sports portait également la concurrence avec les clubs français dans les autres disciplines athlétiques en formant à base d’efforts, sans relâche, et beaucoup de persévérance, de brillants athlètes à l’image de Moncef Klibi, champion au lancer du javelot en 1941, Zouiten, champion d’Afrique du Nord au triple saut, Taïeb Saya, champion au saut en hauteur en 1943 et Abdelkader Kabadou, champion au saut en longueur en 1943. Il a également été un grand nageur qui avait détrôné le champion Sylvain Smadja en gagnant la médaille d’or en 1938 quand il pratiquait la natation avec l’Union Goulettoise.
La Zitouna Sports a œuvré, sans relâche, en vue de rassembler la diaspora des joueurs tunisiens éparpillés entre la France et l’Afrique du Nord(12) et résistait tant bien que mal aux tentatives des associations sportives françaises de lui ravir ses jeunes talents en les incitant à les rejoindre.
Première équipe féminine tunisienne (1946-1947) de droite à gauche : les soeurs Ben Abdallah, Leïla Halwani (chef d'équipe) et Ferida Klibi
La concurrence exercée par la Zitouna Sports dans le sillage des associations sportives françaises lui a permis d’imprimer également sa marque dans d’autres disciplines sportives lui permettant le lancement tous azimuts des équipes suivantes:
• Une équipe de baseball dès 1934 (du temps où le club avait encore une vocation scolaire). Le journal «Tous les Sports» fait écho le 15 mars 1934 de sa victoire sur l’Alliance Israélite au score de 21 à 10.
• Une équipe de gymnastique et de boxe en 1936 sous la responsabilité de M. Habib Boukhris.
• Une première équipe tunisienne islamique civile de baseball en 1938.
• Une équipe de basket-ball en 1939 dirigée par Mohamed Salah Bargaoui qui est secondé par Habib Ben Othman et Khaled Bourguiba.
• Le lancement de la première équipe tunisienne de volley-ball en 1940-41 à La Marsa avec comme entraîneur Lamasdorf et comme dirigeant Hamadi Ben Azouz, et occupant un terrain derrière la demeure du martyr Dr Abderrahmane Mami(13).
• Une équipe de natation en 1941.
• Une équipe féminine de basket-ball totalement tunisienne(14), la première en Tunisie, en Afrique du Nord et même la première dans tout le monde arabe grâce surtout aux efforts fantastiques de Mohamed Salah Bargaoui, l’un des membres du trio fondateur. Evènement qui représentait à la fin de l’année 1946 un grand défi à l’esprit sclérosé et une remarquable avancée pour la modernité bien comprise dans la société tunisienne.
• Une équipe de hand-ball en 1952; également la première comme équipe de hand-ball tunisienne islamique qui comprenait de brillants joueurs. Elle en a cédé plus tard quatre brillants éléments pour former quatre autres équipes tunisiennes dont le célèbre Moncef Hajjar qui formera l’équipe de l’Espérance Sportive.
D’autres grandes associations sportives islamiques tunisiennes ont emboîté le pas à La Zitouna Sports en matière de diversification des disciplines sportives, au nombre desquelles l’Espérance Sportive et le Club Africain, se démarquant petit à petit de l’intérêt qu’on accordait, en général, de manière exclusive au football.
Les instances dirigeantes des clubs sportifs islamiques tunisiens prenaient de plus en plus conscience de leur responsabilité pour défier les clubs sportifs français.
2- S’infiltrer et prendre place dans les rouages de la gestion sportive du pays
Nous avons vu comment s’appliquaient les Zitouniens pour défier les Français sur les terrains de jeu. Leurs dirigeants ont mené, quant à eux, un grand combat pour s’infiltrer dans les rouages de la gestion sportive du pays et y acquérir une place respectable.
Nombreux sont ceux parmi eux qui ont excellé dans ce combat. Citons parmi les plus brillants : Hamadi Ben Azzouz, icône en tant que membre fondateur influent, n’a cessé de fournir des efforts continus au sein de la section d’athlétisme dont il était un inconditionnel, réussissant, après avoir lancé la première section d’athlétisme en 1932, à s’assurer dès 1934 un siège auprès de la Ligue tunisienne d’athlétisme relevant, à l’époque, de la Fédération française d’athlétisme. Il côtoyait neuf Français, portant…sa jebba et sa chéchia !
La réunion de la commission sportive du mercredi 24 janvier tenue au Bar Marius à la rue du Portugal «l’a désigné pour faire également partie de la commission de cross»(15).
A ce titre, il a joué le rôle de pionnier, ouvrant la voie à d’autres Tunisiens qui vont suivre ses pas et pouvoir militer au sein de ces instances sportives.
Abdelkader Kabadou
Mohamed Salah Bargaoui. Ce brillant fondateur a réussi, grâce à ses indéniables qualités personnelles et au respect dont jouissait la Zitouna Sports, à devenir membre actif du Conseil supérieur des sports à l’époque coloniale et à être élu président adjoint de l’Union des ligues sportives tunisiennes pendant de nombreuses années. Le voilà déclarer haut et fort à la presse le 18 février 1946 : «J’exhorte les autorités et la Direction générale de la santé à fournir les investissements suffisants pour doter le pays des infrastructures nécessaires dans le domaine sportif». Il a dans ce sens présenté un plan quinquennal précis.
Abdelmajid Ben Amor, cet autre illustre dirigeant de La Zitouna et l’un de ses fils prodiges.
Tour à tour secrétaire général du club de La Zitouna en 1946, il compte aussi au rang des fondateurs de la Fédération tunisienne des sports islamiques.
Membre actif de la Ligue tunisienne des sports islamiques, il se révéla, en outre, être un excellent chroniqueur sportif, offrant ses contributions à plusieurs journaux tunisiens et français.
On n’oubliera pas son rôle de premier ordre dans la bataille de la «parité» dont il se réclamait haut et fort auprès de toutes les ligues sportives avec l’exigence qui en découle d’aligner en – stricte parité– autant de Tunisiens que de Français dans toutes les ligues, à tel point qu’il a été présenté par le journal «Al Ossboue» dans sa parution du 2 mars 1947 comme «le brave héros du mouvement»(17) qu’il a su mener à bon port.
Taieb Ben Ammar, autre membre et non moins illustre des instances dirigeantes de La Zitouna Sports, trésorier durant la saison sportive 1932-1933. Il se révéla comme membre actif au sein de la Ligue tunisienne d’athlétisme. Fort du succès enregistré par la déferlante du mouvement paritaire qui se diffusa dans les instances dirigeantes des ligues sportives, Taieb Ben Ammar a pu être élu comme le premier Tunisien au poste, tant envié, de vice-président de la Ligue tunisienne d’athlétisme(18), sachant que la présidence revenait au Commandant Finelli, qui était du reste l’un des rares Français à soutenir la promotion du sport islamique tunisien.
Travailleur indéfectible pour la cause du sport tunisien et de sa promotion, Taieb Ben Ammar a été consacré en 1947 président de la Ligue tunisienne d’athlétisme. C’est en cette qualité qu’il présida, au Maroc, en juin 1948, la délégation tunisienne au Championnat d’Afrique du Nord d’athlétisme et plus tard la conférence de la même fédération tenue à Rabat. Il fut également le premier tunisien auréolé à la tête de cette conférence.
Ce Zitounien par excellence menait un combat sans relâche au point que la jeunesse tunisienne affichait une participation sans précédent dans le domaine du sport, de l’athlétisme en particulier. Ces réussites lui ont valu la reconduction, en novembre 1948, à la tête de la Ligue tunisienne d’athlétisme. Les journaux tunisiens reprirent en écho les «preuves de l’efficacité de l’homme tunisien dans la gestion des affaires sportives majeures»(19).
En résumé, le présent article est un aperçu succinct des réalisations et exploits de La Zitouna Sport dans le chapitre du militantisme sportif national à l’époque coloniale, un militantisme que nourrissaient deux grandes motivations : la lutte anticoloniale et l’aspiration à une société évoluée. Ce fut un temps d’engagement, de réalisations et d’exploits auxquels ont contribué, bien entendu, plusieurs autres associations sportives tunisiennes comme Al islamia, Annassiria, l’Etoile sportive de La Goulette, l’Union sportive musulmane, l’Avenir musulman, Ennajah Arriadhi, Nadi Almoulakama lichouban, le Stade Tunisien, etc. à côté des deux clubs populaires : le Club Africain et l’Espérance Sportive de Tunis.
Dr Hassine Ben Azouz
Notes
1. Omnipraticien, fils de l’un des trois fondateurs de la Zitouna Sports. Membre directeur de l’Association tunisienne des études et recherches sur le patrimoine intellectuel tunisien (Aterpit) et de l’Association tunisienne de la qualité de l’enseignement (Atuque) et président du Centre du patrimoine soufi Mustapha-Ben Azouz (Cpsmba).
2. Journal « Al Oussboue » du 12 janvier 1947 – «Arriadha saniha – Azaïtouna arriadhia».
3. Cf. l’ouvrage en langue arabe : L’avocat Doyen: Taïeb Miladi, Souvenirs et documents. Conversation avec Mohamed El May (Tunis : Société tunisienne d’édition et d’art graphique, 2000).
4. Famille soufie : « Rahmania » dont Sidi Mustapha Ben Azouz (1803-1866) qui émigra en 1841 de Biskra à Nefta après avoir participé avec ses frères à la lutte anticoloniale dirigée par l’Emir Abdelkader. Cf. Ibn Dhiaf: Al Ithaf – Tome 8 (Tunis: STD, 1963) p. 142-143 & Julia Clancy-Smith: Rebel and Saint: The emigration of Sidi Mustapha Ben Azouz or the baraka and the baroud (chapitre V) (Berkeley 1992) p. 125-167.
5. Information fournie à l’auteur par feu Abdelkader Kabadou, brillant sportif zeitounien le 26 juin 2001.
6. Journal La Presse du 17/08/1978 : A l’occasion du 40e jour de sa mort : Hamadi Ben Azouz un militant sportif.
7. Ibid.
8. Témoignages de M. A. Fekih rendus directement à l’auteur, qui a été, par ailleurs, son médecin de famille pendant de nombreuses années et jusqu’à sa mort.
9. Information confirmée, entre autres, par Dr Taïeb Litaiem, lors d’un entretien le 20 juin 2001. Il a été un brillant athlète zitounien et président du club de 1996 à 2002.
10. Journal « Al Ossboue » du 12 janvier 1947.
11. Journal « Tous les sports » du 19 décembre 1935. Rapport officiel de la Ligue tunisienne d’athlétisme.
12. Journal « Al Ossboue » du 12 janvier 1947.
13. Ces précieuses informations m’ont été procurées par l’ex-diplomate Abdeljelil Mhiri le mois de mai 2001
14. Cf. Journal Omnisport du 31 décembre 1946 : article et photo de l’équipe.
15. Journal « tous les sports » du 19 décembre 1935 : Rapport officiel de la Ligue de tunisienne d’athlétisme.
16. Journal « Al Ossboue » du 11 mars 1946. « Attajhiz arriadhi ».
17. Journal « Al Ossboue » du 02 mars 1947
18. Journal « Al Ossboue » du 07 janvier 1946. «Firrabita lialaab Al Kouwa ».
19. Journal « Al Ossboue » du 28 novembre 1948: « Tajdid intikhab arraïs al moslem ».
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