Les LPR veulent entrer dans de la commission d'investigation gouvernement-UGTT
Les Ligues de protection de la révolution exigent d’être représentées aux travaux de la commission conjointe gouvernement-UGTT d’investigation sur les incidents du 4 décembre Place M’Hamed Ali, faute de quoi elles ne reconnaitraient pas les résultats de l'enquête.
Halima Maalej, chargée des affaires juridiques au bureau exécutif des LPR, présidé par son propre mari, a déclaré au micro de Shems FM que si les Ligues ne siègent pas à la commission d'enquête sur l'attaque du siège de l'UGTT aux côtés des représentants du gouvernement et de l’organisation syndicale, elles en récuseront les résultats.
Ce sont précisément ces mêmes ligues qui sont accusées par les syndicalistes et par bien d’autres composantes de la société civile d'avoir agi en milices organisées pour attaquer le siège de l’organisation et violenter plusieurs cadres et militants de l’UGTT. Le ministère de l'Intérieur les a lui-même mises en cause nommément juste après ces incidents violents.
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Il faut arrêter ce cercle vicieux de la violence d'ou qu'elle vienne.Mais en paralélle pour n'exclure personne il faut accepter la représentante des Ligues de protection de la révolution,il faut que les trois parties se réunissent autour d'une table!