«Ils nous ont clochardisés»!
«Vous avez clochardisé le budget». En tunisien, le terme est encore plus méchant ??????? ?????????. Il ne s’agit pas du «vous» de politesse car le ministre des finances, en prononçant ses mots, il ne s'adressait pas seulement à la vice-présidente de l'ANC, il embrassait du regard toute la salle, s'adressant de toute évidence aux élus. Ces derniers ne s’y sont pas trompés qui se sont mis à protester bruyamment contre «ce manque de respect», menaçant de quitter la salle.
Connu pour son calme olympien, le ministre s’est brusquement emporté dimanche soir, en apprenant qu’on avait glissé dans le projet de loi de Finances un autre projet portant création d’une Caisse de la dignité destinée à indemniser les anciens prisonniers politiques. La découverte du ministre est bien tardive, car ils ne se sont pas contentés de clochardiser le budget. Ils ont clochardisé l'ANC, nos villes devenues des dépotoirs à ciel ouvert ; nos écoles, nos institutions, nos administrations ; tout ce que les pères-fondateurs avaient patiemment édifié ex nihilo il y a près de soixante ans ; et par-dessus tout, ils ont clochardisé la démocratie. Comment s’étonner dès lors de la perte de prestige de l’Etat ; du laissez aller dans les administrations ; de la montée de la corruption, de la banalisation de la violence. Malgré les vicissitudes de l’histoire, le Tunisien a su conserver jusque-là, les principaux traits de sa personnalité de base. Aujourd'hui, Il a perdu ses repères. Il ne reconnaît plus son pays. Lui aussi, on l'a clochardisé.
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Continuez de jacter dans le désert !
BONJOUR LA CUREE,SERVEZ-VOUS MESDAMES MESSIEURS LA DE LA NAHDHA ET AU BON PEUPLE DE MANGER LA TERRE,,,,
les fellaguas n 'ont pas été indemnisés les blessés de la révoltes ;les régions défavoridées depuis l 'indépendance;les chevrotinés;les malades pauvres;les veuves sans salaires ;les égorgés qui luttaient contre le terrorisme;la faim ;le désespoir des tunisiens;les forces de l 'ordre.il n 'y a plus de bon sens.Ou est passé l 'opposition l UGTT.Quand il y a erreur judiciaire on est indemnisé et on met des années à obtenir satisfaction; avoir subi la dictature et la torture on passe par un tribunal on ne s 'attribue pas soi meme une caisse d 'indemnité
Pour se redresser notre pays a besoin d'une culture qui se base sur le respect de l'autre. L'autre est une personne, un arbre, un objet ou une idée. Un respect dans le temps et dans l'espace.L'autre peut être proche ou lointain dans l'espace comme, un membre de la famille, du quartier, de la vile, du pays ou de la planète et avoir l'occasion de le connaitre durant ma courte vie ou de ne pas l'avoir(avant ma naissance et après). C'est cette éducation qui facilite la bonne relation et les meilleurs échanges sociaux.En effet, le respect de l'autre règle les rapports entre l'employeur et l"employé,le gouvernant et le gouverné, l'enseignant et l'enseigné et même le prédateur socio économique et sa proie sociale. Ainsi, l'espace public sera mieux respecté par tous ses usagers et la convivialité chasse la haine. Certes, cette éducation est à donner en premier lieu aux personnes dont les contacts avec le plus large public sont au quotidien. Qu'ils soient responsables conscient des médias et de la politiques, des artistes, des sportifs ou autres, ces groupes d'individus doivent être les premiers concernés du changement psychosocial qui doit s'opérer par étape en vue de reconstruire sur des bases solides un bel avenir pour les générations futures en plus de la sécurité de notre riche patrimoine historique(celui qui respecte l'autre, se fait respecter). Le respect de l'autre est incontestablement responsable de la propreté de nos villes et de la régulation de notre vie sociale et économique, Il peut être soit le bâtisseur, soit le destructeur des civilisations humaines. Ayons le courage de diffuser la culture du comportement durable et de réduire notre ogre ego au raisonnable . A suivre: Mohamed Bouzaiane.
On est Tous clochardés ça c'est sûr, pour avoir pousser un minitre aussi integre à le dire! ! Le plus difficile est de trouver le clochard !
votre père fondateur a clochardé les écoles et l'administration depuis longtemps. et les dépotoirs sont le résultat de citoyenneté des tunisiens clochardés aussi par votre père fondateur. la démocratie et la liberté d'expression ne figuraient pas dans son lexique pour être clochardé. c'est ce genre d'article qui sème la haine et partage les tunisiens.
citoyen a tout à fait raison. Autre chose, j'aimerai savoir combien a pris le clan Ben ali (aux riches, surtout) et combien coute ce gouvernement à tout le monde.
Ce qui s'est passé tard dans la nuit à l'ANC, profitant du sommeil des citoyens et l'absence criminelle de la majorité de cette opposition bancale, ce vote furtif et honteux d’une « caisse de l’indignité », est du plus pur style maffieux. Après avoir depuis plus de deux ans pris le pays en otage, il est normal que ces nahdhaouis passent à l'acte criminel suivant le plus pur style de la razzia de leurs ancêtres à la fin du VIIème siècle. Un jour viendra où ces intrus actuels seront balayés et l'histoire contemporaine et antérieure des invasions sera écrite comme il se doit par nos peuples libérés et souverains.
Conclusion véridique et qui fait mal. Mais vous avez oublié de précisere que le bon peuple, (toutes classes confondues) dort profondément, ou bien il est masochiste et trouve du plaisir à subir davantages d'humiliations de la part de ce pouvoir de clochards.
Viendra un jour où tous ces "politiques" qui nous pris en otage au titre d'une "démocratie" achetée par coup de dollars du golfe, seront jugés pour trahison. Ils vont donc tous émigrer, quitter le pays. Pour les indemniser, il faudrait voter un fonds en devises, afin que leur dû leur arrive là où ils seront.
Et après les soit-disons respectables élus de l'ANC demandent à être respectés. Ils ont oublié un petit détail : le respect ça ne marche pas à sens unique !
Merci monsieur le ministre d'avoir rappeler à ces incompetents ce q'uest devenu la tunisie pendant la periode de leur gouvernence dieu merci qu'ils s'en aillent,VIVE LA TUNISIE YAHIYA BOURGUIBA LE Père fondateur .
