Gadhgadhi, l'assassin présumé de Belaïd tué, mais le dossier est-il clos ?
L’histoire le confirmera ! L’assassinat, le 6 février 2013, de Chokri Belaïd a été l’onde de choc qui a recentré la révolution tunisienne et accéléré sa transition vers la démocratie. Un an après, la Constitution est adoptée, l’ISIE est constituée, le gouvernement de la Troïka a cédé la place à des indépendants. Dans sa tombe, Chokri, qui en a tant rêvé, s’en réjouira sans aucun doute. Ce mardi, le ministre de l'Intérieur a annoncé la mort de l'assassin présumé de Belaïd, Kamel Gadhgadhi. Il faisait partie des sept terroristes qui s'étaient retranchés dans une maison à Raoued. Sa mort intervient deux jours avant la célébration du premier anniversaire de l'assassinat de l'ancien dirigeant du Front Populaire. Restent les commanditaires du crime. Tant qu’ils n’ont pas été tous arrêtés et traduits en justice, aucune indignation ne sera apaisée. Mehdi Jomaa s'y est engagé. Ce sera son épreuve de vérité.
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l'essentiel est de tenir bon et de croire que notre système de sécurité nationale mérite du respect.Les équipes de sécurité doivent être traitées au même titre que les autres équipes nationales sportives et avec tous les honneurs. Mes hautes considérations pour eux et pour tous les shérifs de notre paisible et pacifique pays.
Ce n'est pas fini Il faudrait intercepter tous les tunisiens qui ont participé á des tueries en Syie et en Irak. Ce sont des criminels potentiaux dans nos territoires. Les juger pour leurs crimes en déhors de la Tunisie pour les incerserrer. Les rues Tunisiennes ne doient tolérer des criminels dans ses rouages.