Dans les coulisses des journées de l'Entreprise (1) : 29 ans et aucun signe d'essoufflement !
Point d'essoufflement, toujours attractives. Les Journées de l'Entreprise (IACE) continuent à drainer plus de 1000 chefs d'entreprise, le maximum que la grande salle de l'hôtel pouvait accueillir, en plus des grandes stars politiques tunisiennes et étrangères. La 29ème édition qui se tient ce week end à Port El Kantaoui planche en grande messe sur l'Entreprise et le capital humain. Coulisses.
Au podium
Belle brochette de personnalités installées au podium lors de la séance d'ouverture, autour du chef du gouvernement Mehdi Jomaa et Ahmed Bouzguenda, président de l'IACESi. L'ancien président du Nigeria, Obango a été empêché en dernière minute d'y prendre part, Elizabeth Guigou, ancien Garde des Sceaux et actuelle présidente de la commission des Affaires étrangères à l'Assemblee nationale française, Miguel Angel Moratanos, ancien ministre espagnol des Affaires étrangères, Philippe de Fontaine-Vive, VP de la BIE, formaient le premier panel
Et au premier rang
La liste est longue, mais intéressante: Mansour Moalla, Mustapha Ben Jaafar, Hamma Hammami, Chedly Ayari, Hakim Ben Hammouda, Chiheb Ben Ahmed, Hafedh Laamouri, Anouar Ben khelifa, Chekib Nouira, Ouided Bouchammaoui, Zohra Driss, Abderrahim Zouari...
Messieurs les futurs anciens ministres
En brise glace, Mehdi Jomaa a déclenché un rire général lorsqu'il a salué au début de son allocution les personnalités présentes. Balayant du regard les membres de son équipes présents, il leur a lancé : Messieurs les futurs anciens ministres." Déjà!
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Jomaa: Investisseurs, investissez, travailleurs, travaillez
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investisseurs, investissez,investissez...il y a quelqu'un? les hommes d'affaires tunisiens ne sont ni sourds ni pauvres,les promoteurs étrangers sont convaincus que la Tunisie présente un gisement d'opportunités d’investissement très rentables, les chefs d'orchestres de développement ne sont pas impuissants pour composer une symphonie génératrice de richesse...qui les empêchent d'agir? qui les empêchent de mettre le wagon sur les rails selon un nouveau model de développement socio économique? quatre ans ne sont-ils suffisants pas pour donner à la Tunisie sa vrai valeur? Je suis convaincu qu'au bout d'une année la Tunisie est capable de s'en sortir. Il suffit d'enterrer la bureaucratie,de déclencher la guerre contre la corruption, de souffler l’âme de consolidation des efforts des bonnes volontés et de descendre du sommet pour tendre la main à la base. On a perdu quatre dans soit disons pour apprendre la démocratie, J'espère que chacun a eu sont diplôme pour qu'il soit diplomate et pour calmer le jeu et éviter de chatouiller la queue du diable. Comme disait Pascal :"l'homme n'est ni ange ni bête, mais celui qui veut faire l'ange , il fait la bête"