Néjib Derouiche, ministre de l’Environnement, piégé par la confusion des genres
L’escapade en jet privé de Néjib Derouiche, ministre de l’Environnement et du Développement durable (UPL), avec son chef de parti, Slim Riahi, pour suivre un match de foot disputé par le Club Africain, vendredi à Alger, prolongée par un séjour sur la Côte d’Azur a fait enfler la toile de commentaires et controverses. Un membre du gouvernement a-t-il le droit de « faire l’école buissonnière » un jour de travail, etc. Etait-il en congé?
Pour se défendre, le jeune et nouveau ministre (45 ans), qui vient du secteur privé, s’est fendu d’une interview à notre confrère Ech-Chourouk. Sous le titre de : « Mon voyage avec Slim Riahi était pour le travail et non pour le match du CA », il essaye d’apporter ses explications. « Outre ma fonction gouvernementale, j’assume un poste important au sein de l’Union Patriotique Libérale dit-il. Dans l’ensemble, le voyage n’était pas programmé uniquement pour le match du CA, mais s’intégrait dans une série d’autres étapes. C’est ainsi que le président du parti, Slim Riahi était l’invité de responsables français. Je l’y avais accompagné pour rencontrer le Maire de Nice et avons évoqué avec lui des un projet de partenariat avec Djerba dans le domaine environnemental. Il sera parmi nous au cours des prochaines semaines.»
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je suis désolé mais un ministre n'a pas à prendre une autorisation pour aller en voyage d'affaire ce genre de règles en vigueur comme vous le dite il faut s'en séparer car c principalement le mal du pays c de la bureaucratie qui a fait de l'administration un fardeau lourd
C'est un ministre qui a l'air de bien fonctionner,il doit travailler 14 heures par jour y compris le dimanche. Il a tous les droits de voyager,regarder des matchs
la question la plus importante est ce que ce deplacement a ete pris en charge par l'etat ou pas. Il y a des visites officielles qui coutent cher pour le pays sans rien rapporter. pourquoi trois minstres et le chef de la banque centrale aux etats unis em meme temps pour rencontrer le chef de la banque mondiale.
heureusement pour lui qu'il a voyagé gratuitement, sinon il aurait des comptes à rendre au contribuable. le pauvre il a du se justifier même pour un voyage offert.absence de confiance totale dans nos dirigeant alors qu'il a le droit de se déplacer ou il veut, librement selon notre constitution