Comment bénéficier du soutien du Famex renforcer l'export: open days les 14 et 16 septembre
Dans le cadre des travaux préparatifs au lancement du FAMEX 3, le FAMEX organise le 14 et 16 Septembre 2010 à la Maison de l’Exportateur deux demi-journées d’information et d’orientation au profit des entreprises exportatrices souhaitant bénéficier d’un soutien à la fois technique et financier afin de développer leurs marchés à l’export, chercher de nouveaux débouchés pour leurs produits et services, ou s’implanter sur des marchés ciblés.
Au cours de ces « Open days », une équipe technique sera mise à la disposition des exportateurs afin de les piloter dans leur démarche export selon le secteur concerné et les assister dans l’élaboration de leurs stratégies export et leurs démarches administratives. Des témoignages d’adhérents au FAMEX ayant réussi leurs stratégies exports seront également présentés.
La priorité sera donnée aux entreprises n’ayant jamais bénéficié du FAMEX. Les dossiers éligibles seront traités selon le principe du premier arrivé, premier traité.
Il est important de rappeler que le FAMEX 2, est une composante du Programme de Développement des Exportations conçu conjointement entre le Ministère du Commerce, la Banque Mondiale et le CEPEX. Depuis le démarrage de ses activités en mars 2005, le FAMEX 2 a approuvé 1 482 plans d’exportations dont 1400 projets d’entreprises et 82 projets associatifs. Les objectifs initiaux ont évolué au cours de cette période passant de 500 à 800 puis 1000 entreprises « famexées ». Le secteur d’activité « service » occupe la première place avec une part d’environ 29% du total des interventions ce qui est en cohérence avec les orientations du futur programme FAMEX (2011-2014).
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Les témoignages des bénéficiaires de Famex I et II seraient intéressants à plus d'un titre.La sensibilisation est un travail de longue haleine.Encore faut il tirer des leçons palpables de ce programme,sachant qu'il s'agit d'un instrument indispensable pour la conquête de nouveaux marchés. La prise de conscience des opportunités et des menaces auxquelles s'exposera l'exportateur tunisien est essentielle pour tout suivi dans l'avenir et la nécessité de réorienter les efforts.La conjoncture est à prendre en considération et les objectifs à tracer doivnet être réalistes, réalisables,précis,cohérents,et hiérarchisés.En tout état de cause,les facteurs de succès demeurent l'infrastructure,les institutions,les incitations et les innovations.La présence de la Tunisie dans les divers salons spécialisés en Europe devrait être renforcée,et ce à l'image des autres pays concurrents.
La promotion des exportations tunisiennes a été toujours parmi les priorités natioanales annoncées dans les divers plans de dévelop- pement économique et social,au même titre que la création des emplois et le développment régioanal;Le monde continue à changer et de nouvelles exigences imposées de la part des importateurs et de la concurrence internationale en termes de prix et de qualité. Toutefois,l'éducation continue à être considérée comme le moteur de croissanc économique,sans ignorer les nouvelles orientations requises par l'adoption du concept de développement durable suite au Sommet de Rio Janeiro de 1992,et celui de Johannesbur de 2002. Les prévisions avancées demeurent ambitieuses alors que les performances renregistrées demeurent en deça des espérances. Toutefois,les objctifs à tracer et poursuivre dans l'avenir devraient être réalistes,réalisables précis,cohérents et hiérarchisés.L'éminent économiste de la Banque Mondiale,Dudley Seers,avait mis en exergue la définition du concept de développement,dans un article publié en 1969,devenu référence incontournable,sachant que selon lui le terme anglais self-reliance revêt une importance particulière,voire l'autonomie, qui a donné lieu aux concepts d'auto-suffisance et sécurité alimentaire au début des années 1970s.Schumaker,l'auteur de l'ouvrage Small Is Beautiful,As if People Mattered,est une interprétation du besoin pour avoir une technologie appropriée pour les pays en développement.
J'ai lu avec grand intérêt cette information. En tant que consultant en exportation, je saisis cette opportunité pour renouveler mon appel tendant à mettre à ,profit le réseau des conseillers, à travers le Cepex lequel peut nous considérer comme ses partenaires pour tirer meilleur profit des mécanismes financiers et autres, en faveur de la promotion des exportations tunisiennes, et par voie de conséquence, les exportateurs, et en l'occurrence, les PME qui sont candidates à l'exportation. La participation à une série de colloques se rapportant à l'assurance en faveur des exportateurs a révélé un déficit flagrant quant à l'information au niveau des entreprises concernées. J'ai participé à plusieurs séminaires et fait part de pas mal de suggestions dans le sens de bien encadrer les entreprises exportatrices, bien entendu, les PME, mais certaines routines bien héritées, constituent un obstacle à l'adoption et la mise en œuvre de nouvelles formules pour tirer meilleur profit des mesures dédiées au secteur de l'exportation. Bien entendu, je ne détiens pas la vérité en matière de promotion des exportations, mais je demeure un "Pionnier" puisque je suis le fondateur du centre de promotion des exportations, en 1972, dans le cadre d'une mission au niveau du Centre du Commerce International-CNUCED-GATT et un financement extérieur attribué par le SIDA, bien entendu, il s'agit d'un Fonds Suédois qui finançait des programmes d'identification du potentiel à l'exportation et de promotion des exportations. Bien entendu, ces éléments d'information risquent de ne pas se trouver dans les archives du Cepex, mais on peut les trouver à Génève, si besoin était. Pourquoi, je rappelle cela, peut être pour provoquer la curiosité de ceux qui dirigent l'organisme en question. Au risque de voir certains esprits chagrins mal interpréter cette petite incursion, je continuerais à dire que mon objectif vise à profiter et faire profiter d'autres de l'expèrience acquise.
