News - 29.11.2024

Lassaâd M’sahli: Pourquoi faut-il repenser le concept de santé publique?

Lassaâd M’sahli: Pourquoi faut-il repenser le concept de santé publique?

L’OMS définit le concept de santé publique comme étant «l’ensemble des efforts systématiques faits pour identifier les besoins de santé et pour organiser l’ensemble des services». Au fil du temps, on se rend compte que ce concept a servi à garantir beaucoup plus les intérêts commerciaux que ceux de la santé publique. La tendance est franchement en faveur des financeurs et non pas en faveur des populations. A présent, il est légitime de poser la question sur l’utilité sociale de ce concept. A-t-il toujours servi ou desservi l’humanité? L’analyse objective des aspects historiques et factuels de la santé publique, présente une tendance déceptive. Quels sont les aspects historiques et factuels qui confirment cette tendance?

A. Les aspects historiques

1) La pensée critique du concept de santé publique n’est pas un phénomène nouveau

En 1894, le Ministre Autrichien de l’Education voulait honorer l’Université de Vienne pour sa contribution à l’émancipation de l’Humanité. Pour cela, il imaginait des œuvres artistiques pour décorer le hall de la dite université sous le thème de la «Victoire de la lumière sur les ténèbres». Son choix s’est fixé sur le peintre Gustav Klimt qui a accepté de réaliser une série d’allégories sous les thèmes suivants: la «Philosophie» (1900), la «Médecine» (1901) et le Droit ou «Jurisprudence» (1903). Ces œuvres seront connues sous le terme de «peintures de l’Université, scandales en fureurs perverses» ou les «œuvres maudites de Klimt». La présentation de son œuvre «Philosophie» en 1900 lors de la 7ème exposition de la sécession lui a valu un tollé général des enseignants de l’université qui allait la recevoir et une pétition de retrait signée par 87 Professeurs (Pétition des 87). L’œuvre représentait un visage de femme donnant du dos-qui représentait probablement Erda, déesse de la connaissance et du savoir-et ignorant les souffrances d’une nuée humaine aux yeux fermés, inconsciente de l’autre, dans un cycle insensé de la vie à la mort évoquant le véritable sens de la vie et le rejet de la rationalité avec une probable influence de Nietzche(1) et Schopenhauer(2) qui ne cachent pas la douleur humaine. C’était le premier scandale. Il était académique et local.Un an après (1901), Klimt leur a présenté son œuvre «Médecine» lors de la 10ème Exposition de Sécession. Provoquant cette fois, un scandale politique au sein de l’empire austro-hongrois. Le personnage central de «Médecine» était Hygie ou hygée, déesse grecque de la santé et de la propreté d’où le terme «hygiène» et symbolisant la prévention. Elle se présentait avec une coupe de la mort. Une image, un peu plus provocante à l’égard de la faculté de médecine de Vienne qui tourne l’image et l’impression générale d’une médecine curative en une médecine qui tue. Le second personnage est celui d’une femme enceinte qui côtoie le visage de la mort (crane squelettique). Ce qui était révoltant pour la médecine, censée donner la vie et non la mort. Le troisième personnage étant une femme nue présentant impudiquement son ventre et représentant la nue vérité (nudaverità).

En 1903, il récidive avec le tableau «Jurisprudence». Comprenant que ses ouvres n’orneront jamais le hall de l’université, il se livre à une critique ouverte de la censure dont il fait l’objet, et de l’hypocrisie sociopolitique qu’il constatait. Dans la partie supérieure de son œuvre «Jurisprudence», il a représenté la jurisprudence, la loi et la justice qui étaient toutes trois, malgré leurs importance, déconnectées de la réalité humaine et des tortures qui se passent dans la partie inférieure du tableau. Les trois n’étaient pas concernées par cette humanité souffrante. Le deuxième élément figuratif étant deux groupes de juges, qui regardaient partout sauf là il y avait de la torture, évoquant une décapitation et une castration du pouvoir de l’homme. Le troisième élément, pour sa part, était la représentation en bas du tableau des trois divinités persécutrices (furies) voluptueuses et non concernées par la torture infligée à un vieil homme debout, les mains au dos et la tête baissée en proie devant un monstre tentaculaire. Ces furies selon la mythologie grecque, disposaient d’un pouvoir cynique, non-civilisateur et injuste de tortionnaires restaurant ce type de pouvoir primitif que l’on peut comparer actuellement au capitalisme sauvage.

Par ses «œuvres maudites», Gustav Klimt percevait déjà l’apparence de la victoire des lumières sur les ténèbres. En même temps, il dénonçait la persistance de ces dernières à force d’éviter d’évoquer la nue vérité et d’entreprendre les réformes profondes nécessaires qui s’imposent, et de se limiter à d’augustes maquillages de façade.

2) Les fondements inavoués du concept de santé publique

a) La rentabilité esclavagiste

Les études faites par l’historien de médecine Jim Downs sur les origines troubles de l’épidémiologie dans son livre «Maladies of Empire: How Colonialism, Slavery, and War Transformed Medicine» (Maladies de l’empire: comment le colonialisme, l’esclavage et la guerre ont transformé la médecine) nous montrent que le développement de l’épidémiologie n’était pas fait pour résoudre les problèmes sanitaires humains, mais c’était plutôt pour réduire le taux de mortalité des esclaves déportés durant les expéditions et augmenter la rentabilité financière des armateurs. Pour cela, l’épidémiologie a permis une meilleure aération des frégates, plus d’eau potable et d’alimentation. Ce qui a permis de déraciner plus d’esclaves à leurs terres natales et de répandre plus d’injustices.

b) L’eugénisme

1. Le système politique, institutionnel et organisationnel international de la santé

Le début du XXème siècle a constitué une mutation majeure dans la pratique de la médecine. En effet, le rapport issu de la collaboration entre la Fondation Rockefeller et la Fondation Carnegie a produit le Rapport Flexner en 1910 dont le fondement principal était l’eugénisme. Eduquer le «nègre» était bénéfique pour lui-même et pour les «blancs». Paraphrasant Flexner, l’AMA reprenait: «les médecins noirs ne vous traiteront pas ou ne superviseront pas votre médecin. Ils sont importants pour la santé des Blancs parce qu'ils ralentiront la propagation des maladies en provenance des communautés noires». Un contexte aussi proche de notre actuel contexte où l’accent est mis pour vacciner les populations pauvres afin d’éviter de contaminer les nations riches et leurs élites. Selon l’historien Thomas C. Leonard, jusqu’à la fin de 1920, les généticiens américains ont soutenu l’eugénisme contre des financements et de la publicité générés par l’eugénisme. Ainsi, les mariages interraciaux étaient interdits et 70 000 américains étaient stérilisés. Par ailleurs, le rapport Flexner, a surtout mis les bases de l’enseignement universitaire en médecine et en pharmacie et des structures professionnelles comme les Ordres professionnels et civiles (les associations, les clubs, les sociétés savantes médicales). Il a préparé le terrain pour anéantir l’homéopathie, la naturopathie, la phytothérapie et l’aromathérapie. La confiance dont jouissaient les pharmaciens d’officine était l’objet de toute la convoitise du nouveau courant industriel pharmaceutique. Marginaliser les pharmacies d’officine au profit des investisseurs capitalistes tout en captant les prescripteurs était devenu un objectif d’une absolue nécessité. Cette approche était renforcée par le concept de mise en place des essais cliniques nécessitant des sommes conséquentes d’argent. Ce qui a écarté de facto les pharmaciens d’officine de la course aux AMM dans la nouvelle tendance économique.

Dans les années 1950, cette tendance folle d’eugénisme a aussi été prônée par certains de l’élite scientifique à l’instar James WATSON titulaire du Prix Nobel de médecine. Un prix qu’il devait, au moins partager par honnêteté intellectuelle, avec Rosalind Franklin pionnière de l’ADN. Une sorte de gloire volée. James WATSON tentait de démontrer l’existence d’une différence raciale dans le QI qui lui a valu sa fin de carrière.

Un siècle plus tard, la même doxa continue à dénigrer, de la manière la plus brutale, des découvertes et des vérités scientifiques en les traitant d’abord comme des hérésies à l’instar du rôle de l’Helicobacter Pylori dans les ulcères, ou le rôle infectieux des prions dans la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Les stigmates du Rapport Flexner demeurent encore saillants. Plusieurs exemples peuvent être cités. Le premier exemple est historique. Il se réfère à ce que nous appelons faussement «Grippe espagnole», qui s’est révélée une pneumococcie selon les travaux d’Anthony Fauci sur la base d’échantillons disponibles au CDC. Le second exemple plus récent, concerne la gestion de la Covid-19 où la plupart des informations contraires à la doxa et critiques quant aux modes de gestion de la pandémie étaient traitées initialement comme approches complotistes. Elles se sont révélées au fil des mois,vraies et correctes notamment en termes d’effets indésirables et d’absence d’efficacité des vaccins anti-covid tout comme le reste des mesures sauf le lavage fréquent des mains. Des mesures qu’ils présentaient comme étant «scientifiques» se sont révélées de pures affabulations, sapant de la sorte la confiance du public dans les sciences médicales, les autorités sanitaires, le corps médical et académique, les experts, les journalistes et les médias. Ce qui a donné libre court au charlatanisme de toutes sortes. Désormais, le terrain pour rendre la prochaine pandémie particulièrement meurtrière est déjà prêt. Le vœu des eugénistes sera donc exaucé.

2. Les origines eugénistes du concept de vaccination

En 1913, Charles Richet, physiologiste français et eugéniste autoproclamé, a reçu le prix Nobel pour avoir découvert que l'injection de toxines à des animaux les préparait à des réactions nocives ou mortelles s'ils rencontraient les mêmes toxines dans l'environnement, même en petites quantités. Il a appelé ces réactions des réactions «anaphylactiques», mais a précisé que ces réactions comprenaient également les allergies. Après analyse des travaux de M. Richet, Dr Sasha Latypova affirme qu'elle est parvenue à la conclusion que «tous ceux qui [...] connaissent de près cette histoire et ces travaux ne peuvent pas penser qu'il est possible de vacciner». Elle ajoute : «Il est impossible de vacciner pour quoi que ce soit. Richet l'a démontré de manière concluante et a reçu le prix Nobel pour cela... parce qu'il a trouvé comment empoisonner tout le monde en les sensibilisant aux éléments les plus courants de leur environnement ». «C'est la façon la plus ingénieuse d'empoisonner», selon Dr Sasha Latypova.

«Les eugénistes n'ont jamais disparu. Ils pensent toujours de la même manière. Ils pensent toujours qu'ils devraient nous empoisonner et limiter notre reproduction parce que, vous savez, nous polluons la terre maintenant. Ils pensent que nous sommes à l'origine du changement climatique», ajoute Dr Sasha Latypova. On retrouve les bases du discours de Charles Richet, dans la pensée de Yuval Noah Harari qui exprime ses craintes de la montée de la classe des gens inutiles (useless people) et promeut sa doctrine comme étant mondialiste ou globaliste et wokiste mais dont le cœur reste profondément ancré dans les fondements talmudiques et sionistes. Ce qui nous renvoi au dicton: «le tyran trouvera toujours un prétexte à sa tyrannie».

Grâce à l’achat des médias du mainstream, ils ont rendu possible l'utilisation de la propagande grâce à des techniques de relations publiques jugées des plus efficaces pour manipuler le public, le dominer par la peur et le forcer à accepter leurs déraisonnables mesures qui ont permis la prédation de l’oligarchie sur les fonds publics internationaux. Paradoxalement, le sentiment d’appartenance à l’oligarchie, facilite ce type de lavage de cerveau à eux-mêmes (entre-soi) et à leurs partisans en leur faisant croire que tout est tolérable pour réaliser le bien-être de cette hyperclasse. Il devient alors acceptable d'empoisonner les gens, de les stériliser et même de mentir aux gens pour le bien de cette oligarchie. Ce qui a commencé avec Richet se poursuit aujourd'hui encore par Harari, Gates, Soros, Klaus Schwab et sa secte qui porte le nom de «Forum Economique Mondial».

3. Les origines nazies de la médecine «moderne»

Les trois décennies(de 1930 à 1950) ont consacré les dérives des crimes contre l’humanité, au nom de la recherche pour promouvoir la santé et le progrès. Les crimes horribles exécutés par les nazis et par l’Unité 731 ont donné lieu aux13 procès de Nuremberg, ville symbole du nazisme, qui ont concerné 21 dignitaires et 180 dirigeants nazis choisis après d’âpres négociations entre alliés. Ces 13 procès ont ciblé les professions les plus impliquées, à l’instar des juristes et magistrats, des militaires, des forces de l’ordre, des journalistes, des académiques, des médecins, des pharmaciens, des chimistes, des ingénieurs, des banquiers, des économistes, des massacreurs SS, des hauts responsables administratifs, des avionneurs et des pilotes, des industriels métallurgiques (Krupp), chimiques et pharmaceutiques (IGFarben). Ces 13 procès conduits durant 1200 jours ont produit 330 000 pages et ont servi pour élaborer le Code de Nuremberg portant sur la responsabilité éthique dans la recherche médicale.

Hélas, la plupart des criminels impliqués et condamnés ont été exfiltrés par l’Office of Strategic Services devenu CIA pour construire l’ambitieux projet d’intelligence et de conquête de l’espace et de la lune transformant ces 13 procès en une véritable mascarade grâce à l’opération Paperclip. Ainsi, Wernher Von Braun a été placé à la tête de la NASA, Walter Hallstein à la tête de la CEE, actuelle Union Européenne, Adolf Heusinger à la tête du comité militaire OTAN et Kurt Waldheim comme Secrétaire Général de l’OTAN. Les médecins et biologistes aussi, ont bénéficié de l’immunité en échange d’informations sur les recherches entreprise par l’Allemagne nazie et le Japon sur les neuroleptiques, les amphétamines, les morphiniques, les anesthésiques, la médecine aéronautique, les changements physiologiques en cas de conditions atmosphériques extrêmes, les gaz du sang, les gaz thérapeutiques et les gaz toxiques. Avec le recul, il est permis de constater au grand dam de l’humanité, que le nazisme n’a pas été vaincu. Il a simplement mué en mondialisme et en sionisme. Ce qui nous ramène aux aspects factuels.

B. Les aspects factuels

1) Les illusions thérapeutiques, à quand la prise de conscience?

a) Les psychotropes

Les phychotropes, un héritage non glorieux de cette période sombre de l’humanité, constituent selon le Dr Peter C. Gotzsche un crime contre l’humanité évoquant la création de maladies (diseasemongering), la non-fiabilité des diagnostics psychiatriques, la fraude scientifique (STAR*D study, a causé une fraude à 35 millions de dollars au National Institute of Mental Health (NIMH)), la propension au suicide et au passage à l’acte, la violence criminelle iatrogène, les mensonges et les mauvaises pratiques médicales et pharmaceutiques, les troubles de l’attention, etc. En effet, selon la doxa un déséquilibre chimique génère une maladie mentale que les psychotropes corrigent. Or, le Dr Peter Gotzsche-Co-fondateur de la Nordic Cochrane Collaboration- rejette cette doxa et la qualifie de mythe ou de mensonge de la psychiatrie. Il estime que lorsque les gens deviennent déprimés c’est parce qu’ils mènent une vie déprimante, dans la plupart des cas. Le chômage ou la perte de travail ou d’un être cher est une cause majeure de dépression qui n’a rien à voir avec le déséquilibre chimique. Ce qui représente un détournement de l’attention sur la personne et non sur ses conditions de vie. L’illusion est ainsi portée sur les déséquilibres chimiques au niveau du cerveau et non plus sur la situation sociale et l’environnement de vie de la personne. Ce qui est faux.

Les nombreuses études réalisées, n’ont jamais noté que l’on devient déprimé ou psychotique ou atteint du trouble de déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) à cause des déséquilibres chimiques au cerveau. Ce qui reste un mythe dangereux exacerbant la dépendance des patients à ces drogues qui ne font que les déconnecter de la vie normale. Lire un livre devient ainsi, une tâche difficile. Nous sommes peut-être à un point où il faut revoir la conduite à tenir face à une psychose où la psychothérapie démontre une nette efficacité dans la prise en charge de la psychose par exemple. Au lieu d’intoxiquer une personne psychotique et la torturer en lui posant la question standard «qu’est-ce qui ne va pas chez-toi?», il serait plus pertinent de lui consacrer plus de temps pour comprendre ce qui lui est arrivé dans son environnement social qui cause son mal-être. Cela pourrait révéler que la psychose aurait pour base une anxiété scolaire ou un traumatisme psychologique.

b) La mammographie 

D’un point de vue historique, le Dr Daniel Corcos qui a bien étudié la question des radiations, note qu’après les bombardements atomiques au Japon en 1945, le gouvernement américain a présenté les armes nucléaires comme des bombes conventionnelles d'une puissance extraordinaire, rejetant les rapports sur les maladies dues aux radiations comme étant de la propagande japonaise. Cependant, non seulement le mal des radiations était indéniable, mais même à l’époque, il était connu que l’exposition aux radiations pouvait entraîner des cancers. Afin de se dédouaner de toute responsabilité relative aux méfaits des radiations, l’armée américaine a organisée une étude portant sur les radiations des bombes atomiques. Ce qui est, en soi, un conflit d’intérêts manifeste qui revient à accorder à un «criminel» une crédibilité dans son décompte de ses victimes. Cette étude a été longue car les cancers se déclarent tardivement, mais l’augmentation des taux de cancer était indiscutable. Pour des raisons obscures, l’évaluation des risques pour les individus exposés à de faibles doses de radiation s’est avérée difficile. Dans les années 1960, avec l’essor de l’énergie nucléaire civile, il est devenu important de réévaluer les risques liés aux radiations. La personne chargée de ce programme par la Commission américaine de l'énergie atomique (sous supervision militaire) était John Gofman, un scientifique renommé qui était à la fois médecin et physicien des rayonnements.

Une double compétence nécessaire pour élucider ce type de problèmes complexes. Confronté à un manque de données concluantes issues d’observations au Japon, Gofman a examiné la littérature médicale sur les risques de cancer liés à l’exposition aux rayons X. Les données suggéraient des risques importants, même pour les doses couramment utilisées en imagerie médicale. En raison de ses découvertes, le financement de Gofman a été coupé et il a été contraint de cesser ses activités de recherche. La commission a rejeté les résultats des observations des patients comme étant peu fiables et a fait valoir que l’incapacité à mesurer les risques liés à de faibles doses n’indiquait aucun risque du tout. Pour paraître réceptifs aux conclusions de Gofman, les experts choisis par la Commission de l'énergie atomique ont renoncé à fixer un seuil dans la relation dose-réponse. Cette même commission qui a financé ultérieurement le Programme du génome humain. Cependant, leur modèle «linéaire sans seuil » a considérablement sous-estimé les risques par rapport aux estimations de Gofman.

Pour renforcer l’idée selon laquelle les radiations à faible dose étaient inoffensives, les experts ont sans scrupules confondu l’exposition chronique à faible dose avec l’exposition aiguë à forte dose, en ne considérant que la dose totale. Cette approche ignore le fait que la même dose administrée sur une année a des effets très différents de la même dose administrée en une seconde. Tout en compromettant l’évaluation des radiations aiguës (comme celles qui se produisent lors d’explosions atomiques ou d’examens médicaux), l’armée américaine a également mis en place un système de censure des publications, à l’image de ce dont elle a été accusée à propos des origines du Covid-19. Le financement de l’armée et du ministère de l’Énergie leur a permis d’exercer un contrôle total sur le terrain. Lorsque de nouveaux résultats mettant en évidence les effets des examens radiologiques contournaient la censure, les experts affirmaient souvent que les personnes soumises à ces examens présentaient déjà un risque élevé de cancer, rejetant les études comme étant biaisées. Le cas du dépistage par mammographie était une circonstance exceptionnelle car il impliquait une population importante et en bonne santé soumise à l’intervention. L’étude de l’incidence du cancer dans des populations ou des régions entières, a rendu évident que le dépistage était corrélé à une augmentation des cas de cancer du sein, quelle que soit la période de sa mise en œuvre. L'armée américaine a soutenu l'interprétation selon laquelle cette augmentation était due à un sur diagnostic, ce qui signifie que les cancers étaient détectés plus tôt plutôt que causés par les examens. Le Dr Daniel Corcos a pu démontrer que la plupart des cancers excédentaires se produisaient après les examens, indiquant qu'ils étaient causés par une exposition radiographique.

En 1999, une étude suédoise portant sur l’absence d’utilité de la mammographie dans la réduction de la mortalité du cancer du sein en Suède durant 14 ans.  Ce qui a déclenché un débat, dans les pays nordiques et en particulier entre l’Association Médicale Danoise et le Conseil National Danois de la Santé, sur la source à croire: les essais randomisés qui avancent l’efficacité du dépistage par mammographie ou l’étude observationnelle suédoise qui note son absence. La révision des études randomisées a montré un nombre important de cancers du sein non révélés par la mammographie. L’analyse durant 17 ans de l’efficacité de la mammographie par le Danemark a fini par confirmer les résultats de l’étude observationnelle suédoise.

D’autres études montrent que sur 2000 mammographies effectuées sur des femmes de plus de 50 ans, on ne peut diagnostiquer qu'un un seul cas de cancer du sein, tout en causant 5 à 6 cas de cancer. Ce qui signifie que ces femmes devront subir une chimiothérapie et une radiothérapie et qu'elles peuvent mourir des suites du traitement pour cause d’examen d’exploration destiné à dépister précocement le cancer du sein. Ce qui est assez paradoxal.

En 2023, une autre étude réalisée sur 690 000 enregistrements montre qu'un grand nombre de cancers du sein chez des femmes en parfaite santé est noté après une mammographie. En effet, 50 à 60 % des résultats «positifs» sont incorrects. Donc, 50 à 60 % des cas le «cancer du sein» sont sur diagnostiqués et n'existeraient pas. Plus encore, à l'examen, le sein est comprimé avec un poids important de 10 kРа (1019 kg/m2) et ensuite le tissu mammaire sain et très sensible, est bombardé de rayonnement radioactif. Ce qui stimule la croissance tumorale et la propagation des métastases. Est-il pertinent d’exposer à ce risque oncogène des femmes dont la plupart d’entre-elles sont des mères de familles, et de faire payer les coûts de cet examen inutile à la collectivité (CNAM), aux patientes et leurs familles?

c) Les abus de l’approche de vaccination à outrance 

Après plusieurs décennies de propagande concernant la sécurité des vaccins comme étant les produits de santé les plus étudiés, le Pape de la vaccinologie Dr Stanley Plotkin et son équipe viennent d’admettre le contraire. Ils avouent tout simplement que les vaccins ne sont pas convenablement étudiés, ni avant leur autorisation, ni après leur commercialisation (post-marketing), en raison de la limitation de leur taille d’échantillons et de la durée de suivi, d’une part, et de l’absence de ressources financières affectées à des études de sécurité après commercialisation à moyen et long terme, d’autre part. Pour ce Pape de la vaccinologie, admettre l’absence totale d’essais et d’études sur la sécurité des vaccins représente un revirement radical de position, inattendu, qui a mis à nu l’illusion de la sécurité de vaccins. Il est évident que rien de cela n’était possible sans la complicité des autorités sanitaires (FDA, CDC, NIH, NIAD…) qui ont soustrait au public des informations importantes sur les véritables efficacité et sécurité des vaccins grâce à une stratégie double:

a) L’artifice bureaucratique associant plusieurs éléments:

La non-allocation de ressources à des études à long terme des vaccins,

Le déni d’indemnisation des victimes d’effets indésirables des vaccins et

L’attribution du financement des organisations pro-vaccins nationales, internationales (OMS) et professionnelles à l’industrie pharmaceutique et aux fondations philanthropiques. Ce qui a hissé l’hésitation vaccinale comme une menace mondiale, par l’OMS.

b) L’artifice juridique à travers l’intégration des « Secrets d’affaires » (Trade secret) comme nouvelle branche du droit de propriété intellectuelle qui oblige les autorités sanitaires à protéger les données cliniques et techniques déposées auprès d’elles par les titulaires de brevets à l’occasion de la procédure de demande de l’autorisation de mise sur le marché. Ce qui a bloqué l’accès aux données cliniques, leur vérification et leur divulgation au public.

Il devient alors, plus clair, que leur priorité n’était pas de démontrer l’efficacité et la sécurité des vaccins mais de confirmer leurs croyances médicales et psychosociales (adaptation de la science à la pensée) et de défendre leurs intérêts en protégeant leurs produits qui ont été la source de leur carrière, de leur renommée et de leur richesse. On comprend mieux pourquoi les informations sur la nocivité des adjuvants sont étouffées au point de falsifier les placébos (solution saline inerte de référence) et les remplacer par des fauxcébos (vaccin moins l’entité antigénique) pour réduire l’écart en termes d’effets indésirables entre vaccin et solution saline inerte et faciliter la commercialisation du vaccin candidat.

Factuellement, après le décès de 27 personnes ayant développé une méningite post-vaccinale, les autorités sanitaires américaines (FDA) étaient dans l’obligation d’analyser la composition des solutions injectées. Cependant, leur motivation principale était d’écarter le lien de causalité entre la vaccination et le décès de 27 victimes beaucoup plus que déterminer la véritable cause létale. Le mercureutilisé dans les vaccins sous la forme «thimorosal» n’a pas été dosé depuis 1929 dans les vaccins.

Plus récemment, le numéro publié le 11 octobre 2024 à l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research 3(3) (2)) fait état que plus de 55 éléments chimiques non déclarés ont été trouvés dans les vaccins d’Astra Zeneca, Cansino, Moderna, Pfizer, Sinopharm and Sputnik V. «Parmi les éléments non déclarés, on trouve 11 métaux lourds: le chrome a été trouvé dans 100 % des échantillons; l'arsenic dans 82%; le nickel dans 59%; le cobalt et le cuivre dans 47%; l'étain dans 35%; le cadmium, le plomb et le manganèse dans 18%; et le mercure dans 6%... Dans toutes les marques, il y avait du bore, du calcium, du titane, de l'aluminium(4) , de l'arsenic, du nickel, du chrome, du cuivre, du gallium, du strontium, du niobium, du molybdène, du baryum et de l’hafnium. » Les éléments chimiques non déclarés ont été détectés par microscopie électronique à balayage couplée à une spectroscopie à rayons X à dispersion d'énergie (SEM-EDX) et par spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif de haute précision (ICP-MS).

Cette contamination des vaccins par les métaux est aggravée par une contamination par certaines souches biologiques (virus, amibes, prions, plasmides d’ADN (SV40). On parle alors de biovigilance qui connaitra un grand essor dans un futur proche. Il convient de s’y préparer et de développer les compétences nationales pour protéger la santé des Tunisiens.

Cependant, une question s’impose: comment est-il possible pour la FDA d’interdire ces contaminants métalliques et biologiques dans l’industrie agroalimentaire et de les autoriser dans les vaccins?

Cette dissonante et incohérente sécurité est à l’origine du scepticisme vaccinal observé au cours de la pandémie de la Covid-19. Elle révèle que professionnels de santé et public ne sont plus satisfaits de l’objectif traditionnel de sécurité consistant à détecter et à quantifier les risques associés après l’utilisation d’un vaccin.

L’asymétrie d’information que l’on a tenté de colmater à travers le consentement éclairé du patient après une explication détaillée de la part du professionnel de santé, se révèle plus diffuse et plus grave. En effet, l’asymétrie d’information entre les laboratoires et les institutions sanitaires de référence (CDC, FDA, NIH, NIAD, DARPA, EMA) par rapport aux autorités sanitaires nationales et aux professionnels de santé, dépasse de loin l’asymétrie d’information entre le professionnel de santé et son patient. Pire, les autorisations de mise sur le marché délivrées par les autorités nationales engagent la responsabilité médicale des professionnels de santé alors que les études d’efficacité et de sécurité n’ont jamais été réalisées pour les 72 vaccins commercialisés, ni par le laboratoire fabricant de vaccins, ni par la FDA, ni le CDC, ni le NIH, ni le NIAD, ni l’EMA pour les raisons suivantes : faible taille des échantillons, courte période d’étude et absence de financements.

Les fabricants de vaccins bénéficient d'une immunité en matière de responsabilité en vertu du National Childhood Vaccine Act of 1986 puisque l’Etat américain a mis en place un programme d’indemnisation et de compensation des dommages causés par les vaccins (VICP) qui constitue une alternative sûre au système traditionnel de responsabilité civile. En effet, ce programme a payé de 2013 à 2017 1.145 milliards de dollars, soit 229 millions de dollars par an et 430 mille dollars par paiement.

L’élimination des décès dus aux maladies infectieuses au cours de la première moitié du XXe siècle n’aurait rien à voir avec les vaccins mais résulterait des bonnes conditions d’hygiène (eau potable). En effet, les ruptures des conditions sociales lors des guerres facilitent la réémergence des maladies infectieuses dont la polio.

La réémergence de la polio à Gaza consolide cette thèse fondée sur «l’examen historique des stratégies médicales militaires de lutte contre les maladies infectieuses : Des champs de bataille à la santé mondiale».

Comment peut-on croire une autorité sanitaire de premier ordre qui fait la promotion des vaccins quand on sait que son responsable (Anthony Fauci) détient la moitié des brevets de vaccins et qui risque d’être poursuivi pour crime contre l’humanité, pour le meurtre de plus de 20 millions de personnes victimes de la Covid-19? A lui seul et sa clique (Ralph Baric& Co), ils ont fait plus de morts que la bombe nucléaire. Comment faire confiance quand on sait que ces firmes pharmaceutiques qui fabriquent tous ces vaccins sont des criminelles multirécidivistes qui ont été condamnées et qui ont payé plus de 35 milliards de dollars de sanctions pénales et civiles au cours de la dernière décennie? Comment faire confiance à ces agences de réputation internationale (FDA, EMA) quand on sait qu’elles sont financées à plus de 50% par l’industrie pharmaceutique et que le CDC possède au moins des dizaines de brevets dont ceux des vaccins de la Covid-1 ou quand on sait que le NIH détient des centaines de brevets vaccinaux et la moitié des vaccins de Moderna ? Une telle situation reste improbable en Tunisieet de laquelle il faut être fier.

Comment faire confiance quand on sait comment l’industrie pharmaceutique a corrompu la classe politique internationale et porté préjudice aux patients de toutes nations pour réaliser leurs objectifs financiers?

Au vu de l’ensemble de ces intérêts mis en jeux, il semble que l’ordre ait été donné de falsifier toutes les données scientifiques relatives au lien de causalité entre la vaccination et l’autisme. Tout comme on savait que les vaccins contre la Covid-19 n’arrêtaient pas la transmission ou que les biais relatifs à l'effet protecteur de la vaccination contre la grippe devrait être spécifique à la saison grippale, et que l'évaluation de l’efficacité du vaccin durant des périodes non grippales pourrait indiquer la contribution possible d'un biais aux estimations observées pendant la saison grippale. Ce qui fragilise la solidité des arguments en faveur d’une réduction des hospitalisations ou des décès. Certains leaders d’opinions indépendants de l’industrie pharmaceutique, estiment que les personnes vaccinées contre la grippe sont 6 fois plus contaminantes que les non-vaccinées et qu’elles sont 4.4 fois susceptibles de contracter une maladie respiratoire non grippale.

2) De la trahison de la médecine et de l’humanité 

Hélas la trahison de l’humanité, telle qu’elle a été exprimée dans les œuvres maudites de Klimt, continue à ce jour. La médecine et la pharmacie et leurs nobles serments d’Hippocrate et de Galien, continuent aussi à être trahies avec la participation de certains professionnels de santé dans des abus de droits humains fondamentaux de type implication médicale dans de la torture, de l'abus de la psychiatrie à des fins politiques, de l'implication des médecins dans les châtiments corporels et les exécutions capitales, et des traitements non éthiques de toutes sortes au sein des systèmes pénitentiaires y compris des essais cliniques tenus secrets. De tels épisodes sordides continuent sous le regard hébété du citoyen qui remarque qu’une minorité de professionnels de santé est impliquée dans ces abus sous une pression écrasante, soit par lâcheté, soit par manque de soutien de la part de leurs pairs, soit par manque d'autocritique ou de prise de conscience, et parfois par conviction personnelle et par délectation qu’ils ont trahi les principes de leur profession, souvent dans un passé très récent (Covid-19) et souvent non loin de chez eux.

Il s’en suit un effondrement de la crédibilité des responsables politiques de premier ordre international qui mènent des politiques publiques désastreuses néfastes pour leurs pays et dont le prix sera payé par leurs populations en termes de vies humaines et de dégradation de la qualité et l’espérance de vie en bonne santé. Les statistiques par pays, soulignent une tendance haussière de mortalité. Des pays développés leaders où la démocratie est séculaire illustrent bien ce cas. Pire, leurs gouvernements respectifs ont opéré une limitation des libertés et droits fondamentaux. Ils ont contracté des marchés publics sans respecter les règles juridiques de tels marchés (Pfizergate). Ils ont autorisé «l’euthanasie justifiée par une approche bureaucratique et non pas médicale» comme l’administration du clonazépam ou du midazolam aux personnes âgées hospitalisées ou admises dans des maisons de retraite. L’effondrement de la crédibilité touche aussi l’industrie pharmaceutique et les journalistes qui ont choisi de taire les abus, les conflits d’intérêts, la corruption dans le secteur sanitaire et sa capture par les fonds d’investissement.

Conclusion

La présente analyse ne constitue pas une apologie du négationnisme des progrès sanitaires. Elle est plutôt une approche critique des choix politiques sanitaires internationaux et ce depuis le siècle des lumières. Malheureusement, ces arbitrages n’ont servi ni l’intérêt général, ni protégé la santé publique, ni amélioré la gouvernance des deniers publics.

Cette réflexion se veut comme une invitation respectueuse aux autorités sanitaires nationales et à leurs efforts en raison des moyens limités dont ils disposent, de concevoir une nouvelle approche selon un nouveau prisme qui intègre toutes informations délétères cachées relatives aux risques sanitaires dissimulés des produits de santé. S’interroger, ainsi, sur la pertinence des choix sanitaires et leurs apports pour l’humanité depuis plus de deux siècles devient une question urgente en raison des échecs multiples des politiques sociales. Serait-il hérétique de la poser? Pouvons-nous nous débarrasser de tous les dogmes qui nous ont ensevelis, voire endoctrinés pour oser nous interroger sur cette véritable relation entre l’humanité et la santé que l’on veut publique voire mondiale ou globale. Cette relation ne serait-elle pas paradoxale au point de paraître choquante ? Aurait-elle la violence d’une vérité taboue que l’on veut faire taire pour longtemps ? Est-il permis de se poser la question pourquoi «la santé» dans sa dimension professionnelle et académique aurait-elle trahi l’humanité à chaque fois que cette dernière passait par une période sombre de son parcours historique? Les instances sanitaires de portée internationale (CDC, FDA, EMA, OMS) sont tellement dominées par leurs donateurs financiers (industrie pharmaceutique) au point qu’elles n’exigent plus des preuves d’efficacité et d’innocuité des produits pharmaceutiques et qu’elles cèdent avec une facilité déconcertante aux pressions des lobbyistes, des politiques et de l’intérêt commercial. Plus encore, dans les pays de l’OCDE, les politiques commerciales de l’industrie pharmaceutique et agroalimentaire constituent des prolongements des politiques publiques de chaque membre de cette organisation. Il devient légitime pour un pays comme la Tunisie de mettre en place des politiques beaucoup plus souverainistes.

Malgré la noirceur de ce tableau, un fond optimiste persiste parce qu’on voit les choses changer comme la perspective de soumettre les vaccins à la même procédure de sécurité que les médicaments. En matière de gouvernance pharmaceutique, on peut dire que le château de cartes est en train de s’écrouler. Il faut s’y préparer. Notre santé publique est appelée à protéger notre population des intérêts stratégiques d’une oligarchie mondialiste, messianique et sioniste. L’approche mondialiste de One Health est périlleuse car elle incarne ces trois aspects.

Pour clore cet article, il est utile de rappeler la pensée de Francis Blanche qui disait: «face au changement, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement». L’investiture de l’Administration Trump au mois de janvier 2025 risque fort de porter un vent cataclysmique pouvant désintégrer l’organisation technico administrative de l’actuel système sanitaire américain et international, à condition que le Président Trump ne soit pas ciblé par un nouvel attentat en raison de l’énormité des intérêts en jeu.

Lassaâd M’sahli

Pharmacien-Clinicien, Pharmacoéconomiste, Enseignant universitaire vacataire
et Chercheur en Gouvernance pharmaceutique

1) «Pas d’ordonnances, mais chaque jour une nouvelle dose de dégoût pour leur patient». Morale à l’usage des médecins. Crépuscule des idoles, Fragment 339. Fredrich Nietzsche,1882.

2) «Nous vivons constamment dans l’attente du mieux… et c’est là en règle générale le cours de la vie de l’homme ; dupé par l’espérance, il danse dans les bras de la mort.». Pererga II. Arthur Schopenhuer. 1851.

3) https://doi.org/10.56098/mt1njj52

4) La dose de sécurité en Aluminium (Al) pour un nourrisson de 2 mois est de 25µg, or l’Infanrix (DTaP) en contient 625µg(soit 25 fois la dose de sécurité), Havrix (Hépatite A) 250µg (soit 10 fois la dose d’Al), Gardasil 9 500µg (20 fois la dose d’Al), Prevnar (Pneumocoque) 125µg (5 fois la dose d’Al), Pediatrix (DTaP+Polio+Hépatite B) 850µg (soit 34 fois la dose d’Al). Il faut juste rappeler que l’absorption de l’aluminium est très lente. En effet, 1 mg d’aluminium met 36 ans pour être absorbé.Les effets possibles de cette accumulation sont discutés. La forme oxydée de l’aluminium (Al3) est neurotoxique, en raison de la forte lipophilie de l’aluminium. Les niveaux d'Al3normaux et toxiques du cerveau sont bien documentés et ne diffèrent que d'un facteur 3-10.

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