Les incidents qui ont précédé la tenue du meeting du PCOT à la cité Ettadhamoun : la version du ministère de l'Intérieur
Les incidents qui ont empêché la tenue du meeting du PCOT, le dimanche 3 juillet à la Cité Ettadhamoun ont fait couler beaucoup d’encre. Le chef de ce parti, Hamma Hammami a accusé les forces de l’ordre de ne pas être intervenues à temps et annoncé son intention de porter plainte contre le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur. Le porte-parole du ministère de l’Intérieur, M. Hichem Meddeb s’est inscrit en faux contre ces accusations au cours d'un briefing avec la presse jeudi, affirmant que «ce parti n’avait pas informé son département de la tenue de cette réunion comme le stipule la loi de 1969. La patrouille de la Garde nationale qui s'était interposée entre les militants de ce parti et les habitants du quartier passait tout à fait par hasard près de la salle couverte où se tenait la réunion», selon le porte-parole et a évité que « les incidents ne dégénèrent».
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je ne partage pas vos opinions mais je vous dis bravo pour tenter de "secouer" les responsables, qui donnent l'impression de fermer au moins un oeil
INTOLÉRANCE c est le maitre mot en Tunisie et surtout méfiez vous des intégristes je viens d apprendre que l on menace de mort toute personne qui noue des liens avec ISRAËL ceux ne sont quand même pas ces pourris d islamistes qui vont faire la loi en Tunisie, ça commence bien !!! le HAMAS NE VAUT PAS MIEUX QUE LES DIRIGEANTS D ISRAËL
TOUT ce qui est excessif est futile,Mr HH ,chef d'un parti à idéologie obsolète mème dans sa patrie d'origine,villipende des responsables politiques de 1°PLAN qui font montre d'un grand courage pour maintenir l'ordre dans un pays pouvus d'une pléthore de partis dont les gesticulations et les stériles critiques ne visent qu'à saper l'autorité d'un gouvernement qu'ils se plaisent à qualifier de provisoire, voire parfois d'illegitime.
