Grâce à 1.3 milliard de dollars de prêts, les avoirs en devises couvrent 105 jours d'importations
Les réserves en devises couvriront entre 103 et 105 jours d'importations d'ici à la fin de l'année contre 96 jours actuellement, a annoncé le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, Chedly Ayari. Cette amélioration des réserves de change sera rendue possible grâce aux deux prêts de la BAD et de la Banque mondiale et à l’emprunt Samouraï lancé sur le marché japonais. S’inscrivant dans le cadre des engagements du Sommet du G8 à Deauville, ces financements qui totalisent 1.3 milliard de dollars américains proviennent des 500 millions de dollars de la Bad, dès ce mardi, et autant de la Banque mondiale (d’ici la fin de la semaine), et des 300 millions de dollars de l’emprunt japonais, déjà crédités dans les comptes de la BCT.
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Ce n'est pas en faisant porter le fardeau de la dette sur chaque tunisien qu'on va régler le problème des déficits commerciaux mais par l'investissement et par une politique d'exportation ! On essaye de cacher les erreurs de ce gouvernement qui a ruiné et endetté le pays pour des générations avec une inflation record et on nous fait croire que le pays s'en sort de manière complètement biaisé ! Et dire que la BCT était il y a peu reconnu pour sa rigueur et son indépendance, la voici devenu un instrument de propagande de ce pouvoir qui essaye de faire illusion sur la réalité catastrophique du pays ...
Les emprunts, il faut savoir les contracter et les prêts, il faut savoir les recevoir, s'en servir et es méfier des élans caritatifs. N'est-il pas temps de planter l'amour du travail dans l'intellect et l'affect des citoyens et des citoyennes? Rien ne croît dand une sociétée qui ne se gêne pas d'être assstée et qui ose croire que l'assistance est un devoir des uns au profit de ceux qui pour le travail se font sélectifs .
On couvre la misère par de prêts que le pays sera peut être incapable de rembourser. Facile de faire une politique monnaitaire avec l'argent des autres. Au point ou nous sommes, endettez nos générations par votre incompétences. Hatem Chaieb