Ali Larayedh face au grand puzzle du gouvernement à rassembler
Il savait que sa mission n’allait pas être facile, mais il ne la croyait pas aussi parsemée de difficultés. Dix jours depuis qu’il a été chargé, vendredi 22 février, par le président de la République de former son gouvernement, Ali Larayedh peine à sceller l’entente la plus large possible des forces représentées à la Constituante, autour de l’équipe et du programme. Pourtant, un accord était quasi-finalisé, juste à la veille de la démission de Jebali, et seuls quelques points restaient en suspens, mais voilà que tous ou presque reviennent sur ce qui était convenu, chacun cherchant à fixer ses propres exigences, renonçant à ses concessions, essayant d’obtenir plus.
Pas avant mercredi au Bardo
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Et monsieur Bhiri on n'entend plus rien de ses nouvelles.L'ex ministre(Mr Echabbi) de la justisse nous parlait de temps à autre.Mais MR Bhiri ne se montre plus, pourtant avant le 23 oct 2011 était pratiquement l'unique de ennahla qui se présentait sur les plateaux des tv pendant les propegande des partis ! Esperons qu'il se porte bien et on souhaiterait connaitre ses positions vis à vis ce qui se passe dans notre vie quotidienne.Après tout il occupe, quand même ,un poste clé et influant sur la stabilité du pays .On le voit dans les reunions mais pas de commentaire sur lui ?? Pourtant c'est un gentil garçon !
le gouvernement n'est pas pressé, il prend du temps pour se mettre en place,un gouvernement transitoire pour une période Dieu seul sait quand elle finira.le simple citoyen espére une vie meilleure mais la classe politique tape à coté.
Je souhaite que le chef du gouvernemnt potentiel puisse savoir réussir le challenge d'abord vis-àvis de sa mouvance. La tunisie ne manque ni d'hommes ni de femmes patriotes, compétents et intégres.Quoi qu'il en soit les calculs de politique politicienne ne passeront pas. Que reste-il? Faire vite et bien ou passer la main.