Ben Jaafar de retour de Paris : heu-reux !
Le président de l’Assemblée nationale constituante, Mustapha Ben Jaafar est comblé. Ses entretiens à Paris, notamment avec le président François Hollande, mais aussi avec ses deux homologues, Claude Bartolone, à l’Assemblée nationale et Harlem Désir, premier secrétaire du PS, ont été «fructueux». Autre motif de satisfaction, les multiples interviews accordées aux médias français, Le Monde et France 24, en tête.
L’Elysée a indiqué mardi soir, à l’issue d’une heure d’entretien, que Hollande «a évoqué avec lui la situation politique en Tunisie, un mois après l’assassinat de M. Chokri Belaïd qui a profondément choqué les Tunisiens et ceux qui soutiennent leurs aspirations à la paix civile, à la liberté et à la démocratie».
«Cet entretien poursuit le communiqué, a été l’occasion pour le président de la République de réitérer le plein soutien de la France aux Tunisiens ainsi qu'au processus de transition démocratique en cours en Tunisie. Il a rappelé l'attachement de la France aux valeurs universelles qui ont porté la révolution du peuple tunisien».
Phrase clef de ce communiqué : «le président de la République a également pris note des assurances que M. Ben Jaafar lui a données concernant le calendrier politique de la transition démocratique, dont les deux étapes essentielles sont l’adoption dans les meilleurs délais de la nouvelle Constitution et la tenue des élections».
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C'est ça la Tunisie.Un tunisien souriant ,serieux,respectueux,tolérant,patient avec une tenue correcte et un visage éclatant.Moi convainqu que notre Tunisie ne pourra à jamais être autre chose que de la gaité et de la joie .................
Derrière ces sourire de façade rien est règle et quel crédit accorder à ses affirmations sur les assurances d'un calendrier crédible quand on vois tout le bilan de cette troïka et du retard sur tous les engagements qu'elle a pris (constitution et j'en passe)....
La constitution du président Hollande n interdit pas aux bi nationaux de se porter candidat aux présidentielles françaises. Le projet de constitution de mr Ben Jafaar exclue les bi nationaux nous les franco tunisiens entre autres. Art 67 est sectaire et discriminatoire.il faut retirer exclusivement de nationalité Tunisienne. Sommes nous des tunisiens des seconde zone pour la Tunisie.pas de droits civiques en entier. En France ,nous les franco tunisiens,nous avons nos droits en entier.nous sommes des. Contribuables De la France qui vous aide,... Allez vous un jour nous considérer ,pour qu'elle raison nous exclure? À suivre........... À tous les tunisiens de l étranger de réagir et combattre cet article discriminatoire. Mr hollande propose de donner le droit d vote aux étrangers pour les élections locales, Et vous messieurs les parlementaires tunisiens vous nous rejetez. Alors halte.! Respectez nous nous avons droit et nos enfants bi nationaux à l article 67...
Heureux d'avoir bern? le people Tunisian out, lui qui s'est completement discredite Alec cette troika de malheur et qui a plonge le pays dans une impasse politique et sociale !!
Si Ben Jaafar à beau faire croire que les replis tactiques d'ennahdha ont été effectués grâce à la pression de l'intérieur de la troïka... Non seulement ,ce n'est pas vrai ,c'est plutôt la parade démocratique de l'extrême majorité des tunisiens,opposition ,société civile et pression populaire auxquels il faut ajouter une bonne dose de conneries commise par Ennahdha elle-même. Mais pire encore la nation court le danger le plus périlleux de son histoire en ce moment ,et si Ben Jaafar sert en réalité , et à lui seul,puisqu'il ne représente rien dans l'opinion publique, il sert de leitmotiv pour le discours hypocrite du genre " expérience originale tunisienne de cogestion par des islamistes et des ...progressistes.." Qu'on veut vendre aux étrangers ...comme vient de le faire MBJ en France.
Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage! MR Mustapha ben Jaafar est renté comblé, dit-on.Je me rappelle avoir lu queque part que, jadis, le Présidend de la République française Mac-Mahon, pour encourager un prince du Sénégal qui faisait ses armes à Saint-Cyr, ne manqua pas de lui dire: "C'est vous le nègre? Continuez."
