«Qu'avons-nous fait au bon dieu pour mériter un sort pareil ?»
Les Tunisiens n’ont pas de chance avec leurs gouvernants. Bourguiba les traitait de «poussière d’individus», (ndlr: lire la précision reçue à ce sujet) reprenant une formule d’un journaliste français, Moncef Marzouki lui, vient de les qualifier d’ignares. Bourguiba a malgré tout unifié les Tunisiens et édifié un Etat moderne, alors que Marzouki n’a cessé de les diviser. Entre religieux et laïques, voilées et «safirat», et j’en passe, n’hésitant pas à recevoir des membres des tristement célèbres LPR et de multiplier les impairs avec les pays étrangers en se posant en défenseur des droits de l’homme.
Que reproche Marzouki de si grave à ses compatriotes pour les affubler d’une épithète aussi infâme? Lorsque «les Tunisiens se rendent au Sénégal, ils disent qu’ils vont en Afrique». La belle affaire. Jusqu’à plus ample informé, ce pays, se situe en Afrique et non ailleurs. Ils le disent par commodité de langage et sans arrière-pensée aucune. Doivent-ils, dorénavant, pour faire plaisir au président, préciser qu’il s’agit de l’Afrique subsaharienne. Comme à son habitude, notre président étale ses connaissances. Alors que les spécialistes sont partagés sur l'origine du mot Afrique, il nous apprend «qu'il est dérivé du mot berbère «friguia» qui désigne jusqu’à aujourd’hui les habitants du nord-ouest tunisien». Une circonstance aggravante pour les Tunisiens : ils sont d'autant moins excusables d'occulter leur africanité qu'ils ignorent qu'ils ont donné leur nom à l'Afrique. Ce qui est faux : on ne rate aucune occasion pour le rappeler à nos visiteurs subsahariens.
Au début de son mandat, le «premier président légitime de l’histoire de la Tunisie», élu à la constituante, faut-il le préciser, par 7000 voix, recevait la correspondante «du Monde» au palais de Carthage venue l’interviewer. A la fin de l’entretien, il lui fait faire le tour du propriétaire. Sur la véranda, face à la méditerranée, il lui fait une confidence en désignant le Bou Kornine dont la silhouette se détache de la ligne dl’horizon (je cite de mémoire): «quand je suis ici et que je regarde le Boukornine, je ---pense à mon enfance (il a fait ses études primaires à Hammam-Lif) et je me pince pour être sûr que je suis bien le président».
Nous aussi, M. le président, nous avons besoin parfois de nous pincer pour être sûrs que vous l’êtes et de nous interroger : «qu’avons-nous fait au bon dieu pour mériter un sort pareil?».
Mustapha
- Ecrire un commentaire
- Commenter
Une précision de taille nous parvient: Bourguiba n'a jamais traité les Tunisiens de "poussière d'individus"! il s'agit là d'une contrevérité que ses adversaires avaient colportée pour nuire à sa réputation! En fait, d'aucuns ont isolé la métaphore de son contexte dans cette intention. Je vous livre dans le commentaire infra le paragraphe duquel est extraite cette expression qu'il a employée dans deux circonstances différentes : Une première fois, le 23 février 1931, Bourguiba avait employé dans un article paru dans le journal La Voix du Tunisien, pour dire : " Tout traité de protectorat porte en lui son germe de mort, en raison même de son objet, un État ne pouvant être à la fois sujet et souverain. Une évolution inévitable susceptible de se manifester sous deux formes opposées y mettra nécessairement un terme. S'agit-il d'un pays sans vitalité, d'un peuple dégénéré qui décline , réduit à n'être plus qu'une "poussière d'individus" qu'un "ramassis de peuple", c'est la déchéance qui l'attend, c'est l'absorption progressive, l'assimilation, en un mot, la disparition totale et inéluctable. S'agit-il au contraire d'un peuple sain, vigoureux, que les compétitions internationales ou une crise momentanée ont forcées d'accepter la tutelle d'un État fort, la situation nécessairement inférieure qui lui est faite, le contact d'une civilisation plus avancée, détermine en lui une réaction salutaire : sous l'aiguillon de la nécessité qui se confond en l'espèce avec l'instinct de conservation, il entre résolument dans la voie du progrès, il brûle les étapes, une véritable régénération se produit en lui, et grâce à une judicieuse assimilation des principes et des méthodes de cette civilisation, il arrivera fatalement à réaliser, par étapes, son émancipation définitive. L'avenir dira si le peuple tunisien appartient à l'une ou l'autre catégorie." Une deuxième fois, dans un autre discours : "D'une poussière d'individus, d'un magma de tribus et de sous tribus tous courbés sous le joug de la résignation et du fatalisme j'ai fait un peuple de citoyens. OIT Juin 1973 Genève En réalité pour salir la mémoire de Bourguiba ses détracteurs ont omis délibérément d'ajouter les guillemets à l'expression "une poussière d'individus" pour lui en attribuer la paternité ! Alors qu'en fait, il reprend les termes employés par un colonialiste connu pour son arabophobie et pour son mépris pour les colonisés tunisiens! Il s'agit en l'occurrence de Victor De Carnières, arabophobe notoire. Cette expression est attibuée à Isocrate et a été également reprise par Bertolon . Par conséquent en employant cette périphrase, Bourguiba dénonce le mépris et le dédain clairement affichés par De Carnières! Sihem Bouzgarou
Personne n’a jamais voté de président le 23 octobre 2011.
bien dit
Ce triste sort nous le devons à ceux qui ne se sont pas fait inscrire ou ne sont pas allés voter.Cela risque de se reproduire avec ces nouvelles élections avec cette loi électorale et ce fort pourcentage d'abstention que révèle les sondages.Nous prions Dieu qu'il en soit autrement et comptons sur la société civile pour modifier le cours des choses!
Désolé, mais nous devons ce triste sort à ceux qui nous ont imposés cette mascarade d’ANC pour nous faire rompre avec notre passé et repartir sur des bases nouvelles (Anarchie, incompétence et terrorisme). Pour avoir des électeurs, il faut obligatoirement des politiciens mais la population tunisienne immature politiquement parlant s’est retrouvée face à des listes composés d’inconnus. Une idée diabolique pour permettre aux mercenaires de s’accaparer du pouvoir.
C'est maigre, pour une soi disant "révolution"...
No, non, non, le tunisien n'est pas ignare. Il est spontané, simple, gentil par nature. Il a besoin d'être reconnu et valorisé comme tel. Il a beaucoup de souhait, d'espoir et avec sa patience légendaire obtiendra la bénédiction d'En-Haut. Certes la lassitude s'étale..... mais il est possible de la freîner. Aussi, il peut donner une réponse , justement, en faisant quelque chose au Bon Dieu (pour reprendre l'expression) :retrousser ses manches et montrer et démontrer qu'il veut "redorer le blason de son beau pays" : avec courage il va améliorer sa vie et celle (surtout) de ses enfants. Leur permettre de grandir dans un environnement propre :rafraîchir les parcs, arranger les jeux, replanter de la pelouse ou y étaler du bon sable. Planter des fleurs partout. Innover, organiser des animations folkloriques (costumes, musiques, chants, petits buffets) dans ses magnifiques villages. Propager encore + la richissime Histoire culturelle du Pays, en un mot aimer toujours + cette Terre si particulière, attachante et accueillante et ainsi faire taire les esprits découragés et résignés. Raviver la lueur de confiance en ayant la conviction qu'il peut à son niveau il est (chacun et chacune le sera) désireux d'être "le" président de sa terre. Le succès suivra et alors il sera dit : on a fait quelque chose au Bon DIeu et Il nous aura entendu(es)" - l'Union fait la force" ! ! Là est la vraie réponse. Courage, et sourire à l'Avenir chaque jour davantage.
Liberté d’expression? Je n'aime pas les opinions non signées...car l’absence de signature fragilise les fondations de la liberté d'expression...La liberté en général et d'expression en particulier est un composite complexe de droits et d'obligations...au droit des uns de ''dire'' (ce qu’ils pensent) correspond l'obligation de décliner leurs identités (les autres ont bien le droit de savoir qui parle)...à défaut de respecter ce principe de réciprocité, viendra inéluctablement le temps où le champ de la liberté sera réduit à une illusion, tel un mirage dans le désert qui se dissipe dès qu’on s’en approche. MSH
Ah bon ! c'est parce que c'est Marzouki qui a divisé les tunisiens ? Im..... votre article c'est du n'importe quoi. Il ne mérite pas d' être publié ; mais comme maintenant depuis la merdolution on a fait le plein alors, dans tous les journaux électroniques, on assiste à du n'importe quoi. C'est Marzouki qui a inventé la laïcité qui n'a rien à voir avec nous ? Ce sont les gens de votre espèce qui se disent "démocrates" mais en fait ils ne connaissent de la démocratie que le nom. Les anciens marxistes (ce sont des démocrates? ), les nasseriens (ce sont des démocrates?) les baathistes (ce sont des démocrates?)les bourguibistes (ah oui ce sont les vrais démocrates ?).En Algérie et au Maroc; je vous signale qu'ils ont eux aussi un état "moderne et pourtant ils n'ont pas ton Bourguiba. alors cherche autre chose et la prochaine fois je vous le dirai. Nos "progressistes" , en fait ce sont les intelligentsia qui sont des perroquets de l'occident et il y a même d'autres qui sont inféodés moyennant des avantages en nature ( visas, voyages, etc..) qui ont divisé les tunisiens par ces notions " laïcité qui n'est en fait là que pour défendre le christianisme car le premier partie en Europe est un parti religieux ; la CDU de merckel ; islamisme, au début c'était pour définir les terroristes et maintenant tout le monde. " Et même vous puisque vous êtes obligés de donner vos empreintes quand vous demandez un visa et maintenant à l'entrée pour s'assurer car maintenant ils ont l'air d'être sûr que pouvez être terroristes, même leurs inféodés (là ; ils ont raison car ceux là n'ont pas de principe ; ils peuvent changer à tout moment). merci ; à Leaders de me publier même si c'est contre vos idées ! c'est ça la démocratie, non ?
Parlant de "Poussière d'individus", Bourguiba ne voulait pas rabaisser les tunisiens, sinon pourquoi aurait-il passé un quart de siècle entre les géôles,l'isolement et l'éloignement alors qu'avec son statut d'avocat et d'époux d'une française il pouvait mener une vie aisée sans problème, mais voulait traduire l'état dans lequel se trouvait le pays qu'essaimait généralement des tunisiens tiraillés par des pulsions tribales et pour la plupart sans instruction. Cinq siècles après, on ne peut qualifier les tunisiens d'ignares alors que leur tiers fréquente les trois ordres d'enseignement, aux alentours de quatre cent mille dans l'enseignement supérieur, et que des tunisiens diplômés qui se comptent par centaines de milliers essaiment les cinq continents non pas pour leurs beaux yeux mais pour leurs compétences.
Tant que ce président provisoire se positionnera vis à vis des tunisiens dans une relation de rapport de force, il sera le grand perdant. Si les tunisiens le critiquent, il faudrait peut-être qu'il arrête de s'entêter et de se diriger vers un comportement plus modeste, et davantage respectueux de la démocratie dont il parle beaucoup, mais dont il ne comprend le sens.
7000 ont voté pour ce président, il faut vous rappeler les règles de la démocratie, malgré que je ne suis pas parmi les 7000 j'ai accepté le résultat du scrutin, sachant qu'il est élu deux fois, outre les 7000 n'oubliez pas l'ANC, représentant le peuple. il est donc le premier président élu et qui a un diplôme académique dans l'histoire de notre pays. cessons de le ridiculiser, car il représente la Tunisie, et votre revanche est dans les prochaines élections.
J'ai lu "La Tunisie et la France:25 années de lutte pour une coopération libre" où feu Bourguiba reproche à Peyrouton d'assimiler les tunisiens à une "poussière d'individus".Ce n'est pas Bourguiba qui a traité son peuple de poussière d'individus mais le Résident Général français, "l'homme à poigne" selon l'expression de Bourguiba. Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage. Certaines personnes sont manifestement de mauvaise foi donc malhonnêtes,d'autres ne détiennent pas l'information et la rapportent de bonne foi sans s'assurer de sa véracité.Je saisis cette occasion pour faire un appel à la famille de Bourguiba pour rééditer ce livre qui permet d'avoir une idée sur Bourguiba. Mon livre, je l'ai prêté à quelqu'un qui ne me l'a pas rendu!!!
Le présisdent MONCEF MARZOUKI ont votés pour lui 15000 voix a ce que je crois, le peuple ne l'a pas élu comme président mais c'est l'ANC qui a votée pour lui donner ce poste. Etant démocrate je respecte cette décision et je crois que la faute incombe à ses conseillés qui ne sont pas à la hauteur, je vous donne un exemple le présidenr américain RONALD REAGAN été un acteur de cinéma mais il a gouverné les USA d'une facon acceptable car il été bien conseillé.
Mr Marzouki est le président qu'il faut en temps et en heure pour la Tunisie d'aujourd'hui !
Le bon Dieu nous aime en nous gratifiant d une revolution qui a fait de la Tunisie un pays democratique qui ainsi permettra aux electeurs de se debarasser de tout president, tout chef de gouvernement ou tout parlement qui ne se montrera pas a la hauteur, a condition bien entendu qu on accepte de jouer le jeu democratique. Ce que trop de tunisiens ne veulent pas faire malheureusement...
On a les gouvernants qu'on mérite. Le "peuple" tunisien n'est pas plus ignare qu'un autre peuple. La différence se fait au niveau des élites. Les élites des peuples développés est non seulement instruite et cultivée, mais est aussi patriote (par exemple, on ne voit pas leurs présidents recevoir un salaire d'une chaine tv étrangere quand ils sont en fonction) Ainsi, notre élite, que représente ce président, et que l'on retrouve à la constituante, est ignare, elle. L'élite cultivée et instruite a depuis longtemps quitté le pays, comme le souligne l'article, car elle est mal vue chez elle (exemple de karboul entre autres).
Plus les médias insultaient Ennahdha avant le 23 octobre et plus sa popularité montait. Les médias ont changé leur bête noire. Marzouki a remplacé Ennahdha. Et les médias refont exactement avec Marzouki ce qu'ils ont déjà fait avec Ennahdha, c'est à dire de la publicité gratuite à logueur de journée surtout que Marzouki encaisse le noms d'oiseaux, ne répond pas et va à la rencontre des couches populaires... Rendez-vous lors des prochaines élections! NB : le mensonge de 7000 voix a la peau dure! Marzouki a réçu 17.700 voix à Nabeul 2 et son part près de 400.000 voix!
Inutile de se perdre dans les nuances de la sémantique .Ignare est celui qui ne dispose pas de connaissance ou d’information sur un domaine déterminé- L’ignorant est celui ou celle qui non seulement ignore mais fait en sorte pour ne pas se rattraper –Présume que le président 3M fait allusion au premier sens ,tant il est vrai qu’un micro- trottoir vous fera comprendre que des Tunisiens et non les Tunisiens savent peu de choses sur la géographie et les peuples du continent africain bien que notre pays en soit organiquement lié . Sauf outrecuidance,dans plusieurs domaines nous sommes tous des ignares-Et je ne vois pas en quoi ça offusque-Dans un pays où le tiers des électeurs se compose d’analphabètes, des (et non encore les) "élus" ciblent leur auditoire en le caressant dans le sens du poil. D'autres plus directs usent de leur capacité critique. Qu’un président fasse de l’humour sur ces voyageurs ignares ; il n’y pas de quoi faire une tarte et crier à la diffamation-Désolé, à l’humour vous répondez par l’humeur- Un peu de tolérance, bonté divine !
Bravo Mustapha. Le président est toujours rattrapé par son origine bédouine. Sur les bédoin le Coran a dit son mot il y a près de 15 siècle dans la sourate ATTAOUBA versets 97 et 98. " les bédoins etc. . ." consulter le Coran. Mohamed.
Bonté divine! comme dirait le squatter de Carthage. Plus il reste et plus il nous fait des sorties populistes, espérant encore être élu. Plus il reste et plus il embarrasse la Tunisie à l'étranger. Contrairement à ce qu'il disait le korssi l'a changé ... à moins qu'il n'ait toujours été ce qu'il est, ce que je crois.
La critique est aisée mais l'art est difficile. Il est vrai que beaucoup des membres du gouvernement manquent d'expérience. Ils naviguent à vue d’œil et ils essayent de faire le mieux de leur possibilité. Ils le pensent. Mais ils sont entourés de faux prophètes et de faux amis car la Tunisie d'aujourd'hui est un champ à déchiffrer. Par où commencer ? Qu'avaient fait nos amis islamistes comme programme de développement, d'enseignement, d'investissement et d'emploi malgré toutes les aides reçues de nos faux amis "Le Qatar et l'Arabie Saoudite" ? Ils nous refusent toute forme de modernité et ils encouragent le culte du passé tout en pratiquant le népotisme et récolter le fruit de leur position. Prenant le cas de M. Rached Ghuannouchi, il est en train de copier le système politique de la République Islamique d'Iran pour devenir le Guide Suprême la République Islamique de Tunisie, c'est à dire inamovible, comme le Guide Suprême (faqih) de la République Islamique d'Iran l'Ayatollah Ali Hosseini Khamenei qualifié d'Imam infaillible. Il oublie que l'infaillibilité est une qualité dont Dieu seul a le monopole. Souvenons-nous des prédicateurs, inféodés et illuminés venu du moyen orient sur invitation des Nahdaoui pour nous apprendre la ta'a, la bonne conduite à suivre en Islam et que l'excision est nécessaire pour l'hygiène de la femme et aide l'homme à avoir des meilleurs rapports avec son/ses épouses. N'en parlons pas de leurs bras armées, les salafistes qui sèment toute sorte de terreur dans laquelle vit aujourd'hui la Tunisie, qui va de la peur du voisin jusqu'à l'assassinat organisée et qu'on appelle "le terrorisme". Souvenons-nous de la déclaration d'Alain Juppé, alors ministre des affaires étrangère de la France à l’Institut du Monde Arabe à Paris, le 16 avril 2011, où il évoque la compatibilité de l'Islam politique avec la démocratie comme garantie d'un avenir radieux pour le monde arabe. Nos faux amis veulent répéter en Tunisie ce qui c'est passé au Mali, aux Philippines et en Indonésie. Tout changer pour que rien ne change. Les Occidentaux ont mis plus de trois siècles pour saisir le bienfait de la séparation entre la religion et la politique, condition pour que la politique devienne le domaine de l'innovation libre, donc de la démocratie au sens moderne. Laisser la Tunisie avancer à son rythme vers la démocratie et le progrès, une démocratie radicale, une démocratie participative, une démocratie vivante. Une démocratie vivante, participative et radicale nécessaire pour la transformation de la société et le contrôle par la société civile de l'Etat ou est-ce cette démocratie vivante, participative et radicale est une utopie pour la Tunisie ? Et, cessez de taper sur les doigts d'un nouveau président, malgré ses nombreuses erreurs, il a fait ses preuves comme démocrate et en droit de l'homme, il a fait diminuer de deux tiers de son salaire pour aider le budget de l'Etat en difficulté. Qu'avaient fait les Islamistes et qu'avez-vous fait pour aider votre pays ? Lisez ses livres ! Serez-vous un faux amis ? Dommage qu'il n'y a pas une femme pour se présenter à l'élection et devenir présidente de Tunisie, et ce pour éteindre le feu sacré des islamiste et du monde arabe pourri. Un monde arabe pourri divisé, éclaté, exploité, écrasé, dominé par une clique d'individus et roitelets. un exemple éclatant, le seule pays au monde qui porte le nom d'une famille: l'Arabie Saoudite. Tout appartient à cette famille Séoude y compris les hommes. Le tunisien saura-t-il sortir de ce destin de l'homme non libre, de l'homme esclave par l'ijtihad. Inchallah . Kamel Rabbo
Je m'interroge, nous avons eu: BOURGUIBA, REFORMATEUR , Allah Yarhamou , un homme instruit, ouvert, bâtisseur,... puis Ben Ali, PERVERS, un militaire, dictateur, mais moderniste, , d'où l'entourage corrompu qui reflétait son vrai visage caché de super pervers, ...puis, Marzouki DESTRUCTEUR prônant la mauvaise parole, et...... après avoir tout essayé il nous reste à....nous ATTACHER à nos sources et nos Valeurs BOURGUIBIENNES pour édifier une solide DEMOCRATIE.