Le comportement suicidaire du syndicat de l'enseignement
Il est malvenu dans le cas d’espèce de prendre des précautions de langage, de renvoyer dos à dos, enseignants et Etat. Car on a beau s'efforcer à l'objectivité, on a du mal à trouver une seule justification à ces grèves à répétition que les enseignants mènent depuis des mois pour mettre à genoux l'Etat. Il faut appeler un chat, un chat : le bras de fer engagé par le syndicat de l’enseignement secondaire contre le ministère de l’éducation national relève tout simplement de l’autodestruction. Prendre en otage les élèves comme le font les enseignants, c’est dépasser toutes les lignes rouges, c’est prendre le risque de perdre le respect de leurs élèves et l’estime de leurs parents qui se saignent aux quatre veines pour garantir à leur progéniture un avenir meilleur, c’est mettre le doigt sur un engrenage dont aucune partie ne sortira indemne, ni l’Etat dont l’autorité est, une fois de plus, bafouée, ni les enseignants qui risquent de voir fondre dans cette affaire leur cote d’amour dans la société, ni les élèves menacés d’une année blanche.Que le pouvoir d'achat des enseignants ses soit érodé depuis quelques années, nul ne le conteste. Mais c'est le lot de la majorité des Tunisiens. Et il se trouve que les enseignants ne sont pas les plus à plaindre. Car que dire des smigards ou des chômeurs qui vivent dans des conditions infrahumaines mais qui n'ont que leurs yeux pour pleurer. Il faut être autiste pour ne pas mesurer la gravité de la situation et continuer à réclamer toujours plus d'avantages alors que tout le monde sait que l'Etat n'est pas en mesure de les octroyer.
Il faut savoir terminer une grève. C'est le seul conseil qu'on peut donner à nos enseignants grévistes et il n'émane ni d'un «complice des sionistes», ni d'un «membre des LPR» de triste mémoire, ni même d'un «milicien du nouveau parti au pouvoir», mais d'un Tunisien moyen qui voit son pays glisser inéxorablement sur la pente savonneuse qui mène à la banqueroute et peut-être au chaos.
Mustapha
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A ces dames et messieurs les professeurs. Ci vous avez un travail et un salaire. Il ne faut que vous oubliez tous ceux, à qui vous avez signé des diplômes depuis quinze ans et qui n’ont à ce jour ni travail ni salaire. Patience SVP la Tunisie mène une guerre contre le terrorisme. Une guerre qui coute chère.
Je suis entièrement d'accord avec Mustapha. Les enseignants devraient être les premiers à comprendre la situation en Tunisie depuis 2011. Ils ont des revendications comme tous les tunisiens, mais ils ne sont pas les plus à plaindre. La Tunisie attend d'eux qu'ils ne rentrent pas aveuglément dans la ronde qui amène la Tunisie au Chaos. Soyez compréhensifs .
STOP A L’INCONSCIENCE DES ENSEIGNANTS AVEC LEUR SYNDICAT AVEUGLE, VOUS MENACEZ AUJOURD'HUI NOS ENFANTS, VOUS AGGRAVEZ LEUR AVENIR, VOUS PERTURBEZ LES PARENTS, VOUS MASSACREZ LE PAYS, VOUS NE PENSEZ QU'A VOUS MÊME QUEL ÉGOÏSME, QUEL CIVISME,QUEL NATIONALISME, VOUS ÊTES LES ENNEMIS DE LA NATION, VOS DROITS PEUVENT ÊTRE DISCUTER, QUANT CE PAYS COMMENCE A QUITTER LE GOUFFRE, APPRENEZ A VOIR LA VIE EN FACE, NOS PAUVRES CHÔMEURS SERONT LES 1ER A SERVIR C'EST CA LE DÉBUT DE LA DÉMOCRATIE
STOP A L’INCONSCIENCE DES ENSEIGNANTS AVEC LEUR SYNDICAT AVEUGLE, VOUS MENACEZ AUJOURD'HUI NOS ENFANTS, VOUS AGGRAVEZ LEUR AVENIR, VOUS PERTURBEZ LES PARENTS, VOUS MASSACREZ LE PAYS, VOUS NE PENSEZ QU'A VOUS MÊME QUEL ÉGOÏSME, QUEL CIVISME,QUEL NATIONALISME, VOUS ÊTES LES ENNEMIS DE LA NATION, VOS DROITS PEUVENT ÊTRE DISCUTER,ET SONT ACTUELLEMENT DISCUTES AU NIVEAU NATIONAL(NÉGOCIATION SALARIALE DE LA FONCTION PUBLIQUE ENTRE GOUVERNEMENT ET LA CENTRALE SYNDICALE ET A CE QUE JE SACHE LES PROFESSEURS SONT DES FONCTIONNAIRES DE L'ETAT DONC SI EL ABASSI DOIT INTERVENIR ET ARETER CETTE COMÉDIE DES ENSEIGNANTS SI NON VOUS SEREZ COMPLICE DE CE CRIME, CAR C'EST UN CRIME ENVERS NOS ENFANTS ET ENVERS TOUT LE PAYS) QUANT CE PAYS COMMENCE A QUITTER LE GOUFFRE, APPRENEZ A VOIR LA VIE EN FACE, NOS PAUVRES CHÔMEURS SERONT LES PREMIERS A SERVIR C'EST CA LE DÉBUT DE LA DÉMOCRATIE, DEMANDER A VOS ADHÉRENTS EST CE QU'ILS SONT QUITTES AVEC LE FISC POUR LES COURS PARTICULIERS ESTIMES A 400 000 DT/AN QUI PEUVENT RAPPORTER 60 000 DT AU FISC. A LA PLACE DE DEMANDER DES AUGMENTATIONS DES SALAIRES, ILS AURAIENT PU EXIGER QUE CETTE SOMME DEMANDÉE COMME AUGMENTATION DES SALAIRES, SERVIRAI A AMÉLIORER L'INFRASTRUCTURE DES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES.
Ne pas oublier que ces gens ont demandé de leurs payer la correction des examens par papier malgré qu'ils sont déjà payés pour ça dans leurs salaires_qui dit prof dit enseigner et corriger les examens-,ils n'ont même pas honte de demander de leur doubler le prix de chaque papier corrigée pendant les examens nationaux si non ils refuseront de corriger,ils essayent toujours de presser ou ça fait mal au ministère , aux parents et aux élèves
Bravo LEADERS pour la publication de cet article de Mr Mustapha! Espérant que les enseignants soient compréhensifs et fassent montre de nationalisme solidaire avec les pauvres et les sans abris à Jendouba et ailleurs, suite aux récentes inondations dévastatrices.
