Ces combattants de la Garde Nationale tunisienne : USGN, ils sont tous des héros
En opérations, les galons s’effacent, le respect de la hiérarchie est total, chacun est dans son grade, mais l’esprit de corps l’emporte. Tous engagés face à l’ennemi commun, tous solidaires. A la tête de l’Usgn, le commandement est assuré par le colonel-major (général) Hassine Gharbi, qui fuit les médias. Un homme sans visage pour l’extérieur, mais très proche des siens. Lui-même a gravi les échelons un à un, méritant la confiance de ses hommes et de ses supérieurs, au prix de multiples actes de grande bravoure et de nobles valeurs.
Grand de taille, le teint clair, le regard vif et l’allure altière, ce quadra originaire du Cap Bon parle parfaitement l’anglais en plus d’un français raffiné et de sa langue maternelle sertie des belles-lettres arabes. Sans sa tenue de combat, on le confondrait avec un manager dans une multinationale. Son bureau, ultra high-tech, est garni de trophées, médailles, diplômes, képis et casquettes.
Fils de militant qui avait pris une part active dans la lutte pour l’indépendance puis incorporé dans la Garde nationale, il lui avait transmis ainsi qu’à toute sa fratrie l’amour de la patrie et le sens de l’Etat.
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