Les radars, arrêtés le 28 décembre, ont repris : plus de 288 000 contraventions en 2010
Les radars routiers ont commencé à reprendre service dès le 15 mars 2011. Désactivés le 28 décembre, nombre d’entre eux avaient en effet été cibles de projectiles et d’actes de vandalisme. Le recours aux radars (une douzaine pour le premier lot), à compter du début avril 2010, avec une contravention à partir de 60D s’est avéré dissuasif dans bien des cas et nombre de conducteurs qui en on fait les frais, ont du réduire leur vitesse, d’où une bonne réduction des accidents de la circulation dans les zones concernées, comme c’est le cas particulièrement sur la Route X ou le GP9 Tunis-La Marsa.
Au total, les premiers neuf mois de l’année 2010 ont enregistré 280 000 contraventions signalées par radar, soit une moyenne quotidienne de plus de 3166 par jour. Le montant total généré s’élève à 25 MD, en principal. Mais, comme seules 160 000 contraventions (56%) ont été payées, le recouvrement ne s’est situé qu’à hauteur de 11 MD.
En lisant de plus près les indicateurs, on découvre que sur les 282 000 contrevenants, 198 000 (70%) sont des personnes physiques, le reste des véhicules flashés, 84 000, appartiennent à des entreprises.
Par ailleurs, l’ensemble des infractions routières verbalisées durant l’année 2010 s’élève à 745000, pour un montant total des contraventions à payer de 30 MD.
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Il serait intérressant de nous faire part du taux d'accident de la route durant le mois de Mars 2011 par rapport à l'année 2010. De meme et avec la relance du radars, nous demandons le respect de la loi par les radars mobiles qui devraient normalement verbalisés au dela de 20km/h par rapport à la vitesse limitée (selon la loi), et de ne pas se permettre de verbaliser à hauteur de 40DNT (non mentionnée sur le JORT) pour des vitesses inf à 20Km/h mais superieure à la vitesse autorisée de 10Km/h.
il serait judicieux de connaître le nombre d'excès de vitesse par tranche et par horaires. la vitesse et l positionnement des radars n'ont aucun rapport avec la sécurité mais sont là pour l'argent. une meilleurs répartition selon les statistiques des accidents et leurs sens me semble plus juste et permettra une réconciliation avec la police
Les radars sont faits pour pénaliser le citoyen ou sécuriser la circulation?Les radars fixes n'attrapent que les non habitués de la route ,tous les autres (une majorité)échappent à ce contrôle de la vitesse:ils ralentissent au niveau de ce radar puis les conducteurs farfelus donnent libre cours à leur exercice .Il va falloir changer de politique de contôle de la circulation: des voiture de police banalisées qui peuvent arrêter tout contrevenant en flagrant délit ,c'est plus dissuasif et cela coûte moins chers pour le contribuable que ces radars chèrement acquis en plus on peut engager d'autres agents .D'un autre côté le radar mobile continu à travailler comme si rien n'était comme avant le 14 janvier,posté dans certains endroits qui ne comportent aucun risque ,c'est juste pour "narguer" l'automobiliste;un seul exemple suffit: le radar posté au virage de la nationale 8 ,niveau nahli (ariana) direction bizerte;à ce niveau la le paneau de vitesse marque 70 Km/h, la route monte et la pente est assez importante ,le conducteur est obligé d'accélérer sinon le moteur risque de s'essouffler en arrivant en haut et c'est à ce niveau qu'il se fait attraper. Donc on a tendance à conclure que ces radars fixes et mobiles ,sont là pour une raison économique.Une nouvelle philosophie de leur usage s'impose.
