Nouvelles nominations dans les médias publics : Youssefi à la TAP, Ouerghi à La Presse et Khedher à la Tèlèvision
Les toutes premières nominations décidées par le nouveau gouvernement ont porté sur le secteur des médias publics. Le mouvement annoncé samedi après-midi n’apporte pas de changements majeurs mais mentionne surtout que « des conseils d'administration seront constitués au sein des établissements médiatiques composés de représentants des journalistes, des agents et de l'administration ainsi que de représentants des organisations et des institutions concernées par le secteur ».
Journaliste de profession, passé conseiller en communication au Premier ministère, depuis près de 20 ans, avant de devenir directeur de cabinet du Premier ministre, ces dernières années, Mohamed Taieb Youssefi est nommé PDG de l’Agence TAP, son agence d’origine.
Il succède ainsi à Mohamed Néjib Ouerghi, lui aussi journaliste de profession, qui revient au bercail, La Presse, cette fois-ci, en tant que PDG de la Société nouvelle d'impression, de presse et d'édition (SNIPE) et directeur des journaux « La Presse » et « Essahafa ». Trois nominations pour seconder Ouerghi :
Faouzia Mezzi et Mongi Gharbi: Rédacteurs en chef du journal «Presse», et Néji Abbassi; rédacteur en chef du journal « Essahafa.
A la Télévision Tunisienne qui souffre de l’absence d’un organigramme officiel désignant clairement des patrons de chaînes, et où le mandat de l’actuel président, Mokhtar Rassaa arrive à terme en février prochain, alors que des rumeurs persistantes parlent de démission des principaux managers, quatre nominations sont annoncées :
Adnène Khedr: PDG de l'Etablissement de la Télévision Tunisienne,
Sadok Bouabbène: Directeur de la première chaîne télévisée,
Imène Bahroun: Directrice de la deuxième chaîne télévisée,
Saïd Khezami: Directeur de l'information à la télévision tunisienne.
A peine annoncées, ces nominations ont suscité de vives réactions de la part du syndicat national des journalistes tunisiens quant au mode de prise de décision sans concertations préalables avec le syndicat.
Lire notre analyse: Médias: les raisons de la colère
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desastreux!! moi je pense q'il faut recommencrr la revolution car a peine elu il ecrase la democratie, il gaspille l'argrnt alor q'on est en pleine crise.... si om sr tzit cz srra pire...je szis que c'est dur rt q'pn aspitr a la tranquilitr mais MArzouki est dabgeureuc il rime avec SArkouzi
Les premières décision concernent la mise au pas des médias .Zaba est -il revenu déguisé en Jebali? ou bien Abdewaheb Abdallah a-t-il rejoint son poste à carthage? décidément rien n'a changé dans notre pays sauf les noms des personnes .Après les médias à qui le tour?
mon message est le suivant ,ce gouvernement va se casser les dents rapidement ,lenteur administratif ,islamisation de la société ,un président qui n'a pas la carrure ,manque de liberté