Bientôt un journal télévisé newlook sur Al-Watanya
La Télévision publique met la dernière main à la restructuration du service de la rédaction, de manière à coller de plus près aux préoccupations du public et à se mettre en phase avec ce que les téléspectateurs sont en droit d’attendre du service public.
Dans la perspective de cette échéance, la rédaction vit depuis peu au rythme d’une session de formation organisée en collaboration avec Canal France International (CFI) et animée par l’ancienne rédactrice en chef de France2, Auberi Edler. Cette session avait été précédée, au mois d’août, de la visite d’un groupe d’experts de télévision qui avaient proposé un plan de travail pour l’amélioration du rendement du service de l’information aux plans technique, administratif et journalistique.
Le canevas retenu et actuellement en phase de mise en œuvre pour le relookage des journaux télévisés prévoit une une révision du planning de travail, un renforcement des services d’appui logistique, un changement du décor et une mise à niveau des journalistes, techniciens et des présentateurs en conformité avec les spécificités de la télévision publique.
Il sera en outre procédé à un casting pour sélectionner les meilleurs présentateurs sur la base de critères plus professionnels.
La télévision tunisienne, rappelle-t-on, collabore déjà avec la BBC et CFI pour le développement de ses émissions.
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C'est le Black out total Concernant les informations à notre chaine nationale, à chaque fois que j'ouvre la télé pour savoir ce qui se passe dans notre pays,à l'heure des informations,le Speeker ou la Speekrine, commence à parler de la Syrie, de l'Egypte du Quatar, de l'Amérique, de la Chine, de la corée du Nord, c'est à dire de tout ce ce qui se passe dans le monde, mais rien de ce qui se passe en Tunisie, aucun mot, alors que si la Télé veut déballer tout ce qui se passe dans notre pays, il faudra à la télévision des heures et des heures pour raconter et citer tous les évennements dans notre pays. Les informations sur notre pays sont passées sous silence, comme si nos dirigeants ont peur de la colère du peuple.
