Ebahis, les nouveaux ministres découvrent de visu l'ambiance du Bardo
 Convoqués à 14H30 ce mardi après-midi au siège de l’Assemblée nationale constituante pour le fameux débat d’investiture, les membres du gouvernement sont tous arrivés à l’heure. L'équipe est au complet, sauf Noureddine Behiri, retenu par une urgence, nous dit-on. Une autre absence très remarquée, celle du général Rachid Ammar. Présent en décembre 2011, lors de l'investiture du gouvernement Hamadi Jebali, il n'accompagne pas aujourd'hui son nouveau ministre, Rachid Sabbagh.
Convoqués à 14H30 ce mardi après-midi au siège de l’Assemblée nationale constituante pour le fameux débat d’investiture, les membres du gouvernement sont tous arrivés à l’heure. L'équipe est au complet, sauf Noureddine Behiri, retenu par une urgence, nous dit-on. Une autre absence très remarquée, celle du général Rachid Ammar. Présent en décembre 2011, lors de l'investiture du gouvernement Hamadi Jebali, il n'accompagne pas aujourd'hui son nouveau ministre, Rachid Sabbagh.
Les nouveaux étaient les premiers à se présenter devant le perron historique du vieux palais, s’annonçant discrètement aux services de sécurité et du protocole, non sans une visible émotion. Conduisant pour la plupart d’entre eux, eux-mêmes leurs petites voitures personnelles, ils sont à la fois fiers de leurs entrée et soucieux de ce qui les attend.
L'arène des grands duels
.jpg) Les nouveaux ministres l’ont vue mille fois à la télé mais entrent dans cette arène pour la première fois, curieux de voir ses détails et attentifs aux élus. Ils seront bien servis. A peine le président Ben Jaafar a-t-il ouvert la séance et alors qu’il annonce l’ordre du jour mentionnant l’adoption d’une proposition de loi sur la feuille de route, il est interrompu par plusieurs voix sur les bancs du groupe démocratique. Il n’avait même pas eu le temps de souhaiter la bienvenue au chef du gouvernement et à son équipe. Premier à dégainer, Issam Chebbi, crie au piège d’un vote précipité sans discussion préalable en plénière. Le relayant, Iyad Dahmani, rappelle que la convocation à cette séance ne comporte qu’un seul point à l’ordre du jour à savoir le débat sur l’investiture du nouveau gouvernement.
Les nouveaux ministres l’ont vue mille fois à la télé mais entrent dans cette arène pour la première fois, curieux de voir ses détails et attentifs aux élus. Ils seront bien servis. A peine le président Ben Jaafar a-t-il ouvert la séance et alors qu’il annonce l’ordre du jour mentionnant l’adoption d’une proposition de loi sur la feuille de route, il est interrompu par plusieurs voix sur les bancs du groupe démocratique. Il n’avait même pas eu le temps de souhaiter la bienvenue au chef du gouvernement et à son équipe. Premier à dégainer, Issam Chebbi, crie au piège d’un vote précipité sans discussion préalable en plénière. Le relayant, Iyad Dahmani, rappelle que la convocation à cette séance ne comporte qu’un seul point à l’ordre du jour à savoir le débat sur l’investiture du nouveau gouvernement. - Ecrire un commentaire
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Pourquoi ils ont débarqués sur Mars ??? N'importe quoi cette mascarade on les attend sur les vrais problèmes et sur le terrain pas dans les salons du Bardo !

C'est trés simple ,nous aspirons à une vraie démocratie ,or cette derniére ne peut se réaliser que si le respect soit la base des priorités !!
 
 
							 
 
							 
 
							 
  
 
           		 
 
           		 
 
           		 
 
           		 
 
           		 
 
           		 
 
           		 
 
           		 
 
           		 
 
           		 
           	 
           	 
           	 
           	 
				 
				 
				 
				 
 
			 
 
			 
 
			 
 
			 
 
			 
 
			