Le procès du doyen Kazdaghli reporté au 4 avril
Le verdict dans le procès du doyen Kazdagli, prévu initialement ce jeudi a été de nouveau reporté au 4 avril en raison de la grève des magistrats.
Le doyen de la faculté des lettres, des arts et des humanités de la Manouba risque jusqu'à cinq ans de prison pour «acte de violence commis par un fonctionnaire dans l'exercice de ses fonctions».
Les faits remontent au mois de mars 2012, lorsque deux étudiantes portant le voile intégral ont mis à sac son bureau. L'une d'entre elles, qui avait été exclue de la faculté pour avoir porté le niqab en salle de cours, accuse de l'avoir giflée, ce qu'il dément.
Les deux jeunes filles sont poursuivies dans ce même procès pour avoir mis à sac le bureau du doyen.
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Ce monsieur est justiciable comme n'importe quel autre Tunisien. Laissons à la justice la chance de se prononcer.
Comment peut ont faire un procès à cet homme que même si il avait giflé cette énergumène, la fait avec raison.Si la Tunisie n'est plus capable de faire respecter l'ordre dans ses établissements scolaire cela vient grave pour le futur de la jeunesse.
La justice n'a pas autre chose a faire avec tous ces viols et ces délits qui sont le quotidien de ce pays pluttot que de s'acharner pour d'obscures raisons, sur un recteur d'université respectable qui ne faisait que son devoir pour faire respecter l'ordre devant des individus qui manifestement était en mal de publicité et cherchait l'affrontement !!? On marche sur la tête dans ce pays !
Un peu plus d'un an depuis cette affaire ! Ce n'est point le procès de M; kasdaghli (sur lequel on s'acharne) Mais celui de toute cette mobilisation nationale et internationale qui s'est solidarisée avec lui, pour bien lui prouver que notre justice est "indépendante" et ne subira aucune pression, à preuve on laisse courir les violeurs d'enfants et les meurtriers pour bien punir un des hommes les plus dignes de respect pour une fallacieuse affaire montée de toute pièce !!! Oui nous sommes chez nous et nous faisons ce que bon nous semble
