Pétrole et voiture électrique: Les leçons de la faillite d'un homme d'affaires israélien
L’homme – Shai Agassi- était devenu une icône. Un exemple de l’audace des businessmen israéliens. Un éminent représentant de cette « Nation start-up » qu’est Israël, comme le claironnait un best-seller portant ce titre. En 2009, son nom figura sur la liste de Time Magazine des cent personnalités les plus influentes du monde. Il était régulièrement invité aux grandes conférences internationales comme le Forum de Davos en Suisse où il côtoyait les puissants.
Le projet de Shai Agassi avait pour nom «Better Place» et bénéficia de la protection et des conseils du président sioniste Shimon Pérès, des libéralités du gouvernement israélien et même des attentions de Bill Clinton.
Le New York Times du 27 juillet 2008 rapportait que Shai Agassi, ancien as de l’informatique, voulait faire d’Israël «le leader mondial de la voiture électrique». Aucun pays n’a plus d’intérêt à casser la valeur du pétrole du Moyen-Orient qu’Israël, affirmait crûment et sans détour Agassi. C’est pourquoi, avec l’appui du gouvernement de Tel-Aviv, il voulait mettre sur les routes israéliennes les 500 premières voitures électriques construites par Renault. L’énergie électrique des batteries de ces automobiles devait venir du soleil du Néguev car c’est «dans ce désert que se trouve le premier champ de pétrole virtuel du monde.», affirmait Shai Agassi qui visait à sevrer les Israéliens d’abord, tous les humains ensuite, de leur « dépendance » au pétrole arabe. Il se proposait en fait de créer un «système» comparable à celui du téléphone mobile: le client paie pour un certain nombre de kilomètres – au lieu de minutes de conversation – et dispose alors d’une voiture électrique et de sa batterie qu’il peut recharger partout grâce à un réseau électrique dédié dans tout le pays, un peu comme l’embryon de réseau allemand. Le client devait trouver aussi, à son service, une chaîne de garages pour changer sa batterie si elle rendait l’âme. Il pourrait même y laisser le véhicule quand il n’en aurait plus besoin. Agassi – qui est aussi un spéculateur aux dires du New York Times – voulait faire en sorte que sa voiture électrique soit «si bon marché, si banale que nul ne pensera plus à acheter une voiture à essence», libérant définitivement l’automobiliste de la dépendance au pétrole arabe. Agassi pensait que le réchauffement climatique et des prix du baril de pétrole à la hausse l’aideraient à créer une alternative verte à des technologies de transport par trop polluantes. Agassi, avec ses voitures électriques, plaçait aussi son espoir dans la population israélienne toujours à la pointe du progrès comme chacun sait, n’est-ce pas ? , une population toujours friande de technologie up to date comme le montrent les habitants de Tel-Aviv, la ville qui ne dort jamais. Et puis, affaiblir les économies arabes – voire iranienne– était un atout supplémentaire.
En un mot comme en cent, Agassi voyait s’ouvrir devant lui un boulevard, surtout s’il arrivait à résoudre l’épineux et irritant problème de la durée de vie limitée des batteries.
En cinq ans, il arriva à obtenir 850 millions de dollars des investisseurs tels le géant américain General Electric Co, HSBC Holdings PLC, la Banque européenne d’investissement et Israël Corp – appartenant au milliardaire IdanOfer – qui devint le plus gros actionnaire de « Better Place ». Agassi arriva à convaincre Carlos Ghosn, le PDG de Renault : Better Place pouvait produire une version électrique de sa berline Fluence. Notre héros des affaires se faisait fort de mettre sur les routes israéliennes 5 000 voitures électriques en 2011 et prédisait qu’en 2016, la majorité du parc automobile d’Israël serait électrique.
En attendant que le monde lui emboîte le pas, disait ce monsieur que la modestie n’étouffe pas. «La fin de l’ère du pétrole ne viendra pas de l’assèchement des puits d’hydrocarbures. Elle s’imposera quand nous refuserons de conduire des voitures consommant ces produits carbonés. Je vous garantis que nous mettrons fin aux besoins de pétrole comme source d’énergie pour les véhicules avant que le pétrole ne disparaisse des puits en exploitation.», prédisait, en 2011, notre flamboyant capitaine d’industrie.
L’orgueil de l’industrie israélienne…fait faillite
L’entreprise d’Agassi, «Better Place», devint la fierté d’Israël, conférant au pays un statut de puissance high-tech mondiale. Mais, dans le même temps, écrit le Boston Globe du 26 mai 2013, «la compagnie eut à souffrir d’une forme locale d’orgueil et de démesure»
Le 25 mai 2013 «Better Place» demandait sa liquidation judiciaire et déclarait : «C’est un triste jour pour nous tous. Nous sommes attachés à la vision de Shai Agassi de créer une alternative qui diminuera notre dépendance vis-à-vis des technologies de transport polluantes. Malheureusement, le chemin est semé d’embûches que nous n’avons pas pu surmonter.»
De fait, Better Place n’arriva à vendre que 1 000 voitures et les investisseurs commencèrent à ruer dans les brancards. En octobre 2012, Agassi fut poussé à la démission et l’entreprise ne revint plus à l’équilibre.
Pour être juste, la voiture électrique n’a jamais été nulle part à la hauteur des attentes. A elle seule en effet, la batterie de la voiture électrique coûte autant qu’une voiture neuve standard. Shai Agassi avait simplement oublié de tenir compte de ces contingences mesquines !
Adieu au pétrole arabe ?
Quoi qu’il en soit des tribulations d’Agassi, tous les Arabes devraient en effet observer soigneusement ce qui se passe en Israël dans le domaine de la recherche scientifique et du savoir. Car les plus grandes menaces israéliennes ne viendront que de là, tant il est vrai que, sur le plan de la santé, de la sécurité alimentaire comme sur celui de la défense – les drones en particulier – savoir, c’est pouvoir. Or, Israël est aujourd’hui le pays qui consacre le plus fort pourcentage de son PNB à la recherche, devant les Etats-Unis, la Grande- Bretagne, l’Inde ou la Chine. Shimon Pérès déclarait en 2008 à la revue médicale Gérontologie Pratique: «Pour entrer du bon pied dans le XXIème siècle, nous devons nous adapter à un nouvel ordre; si vous désirez être forts, fondez votre force sur votre niveau scientifique et non pas seulement sur l’étendue d’un territoire.»
Israël est ainsi le quatrième exportateur d’armes du monde et occupe une bonne position en informatique :Google, Yahoo et d’autres viennent d’y ouvrir des centres de recherche. Israël est le premier producteur de médicaments génériques au monde. Il compte des experts de renom en environnement, en cancérologie, en archéologie et…en géographie ! Ainsi, le Dr Gal Kaminka, un informaticien de l’Université Bar Ilan – dont l’emblème est la Torah et le microscope – et qui se veut l’illustration de l’intégration de la religion juive et de la science – vient de mettre au point un robot programmé pour anticiper et contrer des « actions terroristes » afin de libérer les soldats de l’armée d’occupation des tâches répétitives.
Mais, point de complexes à avoir : Israël bénéficie de très nombreuses aides extérieures pour sa recherche et ses universités ; il mobilise en outre tant de compétences à l’étranger.
Pour illustrer l’orientation anti-arabe d’une certaine recherche israélienne, il y a bien sûr le cas Agassi mais aussi le cas bien connu «des fouilles archéologiques» qui mettent en péril la Mosquée d’El Aqsa à Jérusalem… afin d’en faire une cité purement juive !(Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967-2013), Seuil, Paris, 2013, p. 268- 270)
La face cachée du pétrole
Utiliser comme combustible le pétrole– que Mère Nature a mis des millions d’années à élaborer – pour le transformer en gaz carbonique et autres polluants est plutôt puéril. Tout le monde en convient… mais il y a le poids très lourd de l’industrie et des lobbies, bien évidemment. Les pétroliers américains dépensent des millions de dollars pour démentir les travaux scientifiques prouvant le réchauffement du climat dû notamment au gaz carbonique produit par les combustibles fossiles.
Il n’en demeure pas moins que les spécialistes n’ont pas attendu Agassi pour le dire. Mais celui-ci feint d’oublier que le pétrole arabe (ou latino ou norvégien) a de très nombreuses autres applications. Des anesthésiques aux vernis en passant par les réfrigérants, les explosifs, les plastiques, les colorants et les textiles synthétiques, le pétrole a une myriade d’applications qui ont changé la vie (et le confort) de nos contemporains.
La voiture électrique d’Agassi ne pourra probablement se passer des dérivés du pétrole arabe car sa peinture, sa batterie, ses sièges, son tableau de bord, son volant…seront en matière plastique (ou en composites) dérivée du pétrole !
Et c’est précisément aux potentialités du pétrole que les Arabes et leur recherche scientifique devraient – entre autres sujets comme les phosphates, la biotechnologie ou les nanotechnologies par exemple – s’atteler plutôt que de rester les éternels consommateurs de ses dérivés, en provenance de Chine ou d’ailleurs, sous forme de téléphones portables, de téléviseurs à écran plat, de climatiseurs… que l’on voit au Golfe, du Koweït à Qatar et de l’Arabie Saoudite aux Emirats et à Bahreïn. Mais qui dit recherche scientifique dit non seulement des fonds, des laboratoires, des appareils, des techniciens et des ingénieurs bien sûr, mais aussi respect des droits du chercheur et des libertés académiques.
Or, si le pétrole coule à flots dans certaines parties du monde arabe, ces droits et ces libertés-là demeurent hélas ! aussi rares que l’eau dans le désert ou le chameau à cinq pattes !
A cet égard, la volonté politique est la clé du problème. Celle-ci doit se débarrasser des déclarations fracassantes et creuses de nos ministres et joindre la parole aux actes. L’Alecso et les organismes similaires du monde arabe – UMA comprise – devraient, à cet égard, sortir de leur torpeur et dépoussiérer leurs concepts.
Si les Arabes veulent être les dignes continuateurs d’Al Khawarizmi (qui a légué aux informaticiens les algorithmes), d’Ibn Nafis, de Jaber Ibn Hayyan et d’Ibn El Haïtham et s’ils désirent être présents au XXIème siècle et en phase avec son « nouvel ordre », ils doivent écouter l’ennemi, ils doivent être attentifs à ce que dit Shimon Pérès : «Fondez votre force sur votre niveau scientifique».
M.L.B.
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Merci Dr pour ces informations à travers lesquels un grand hommage est à adresser à tous les types Agassi sans distinction de langue et de religion. Les envahisseurs par la force de la terre de Palestine ont au moins le mérite de mettre le doigt sur l'essentiel qui réside dans l'usage du savoir pour résoudre des problèmes de l'humanité( ou leurs propres problèmes). En effet il ne faut pas être un milliard d'individus avec des tonnes d'or et des richesses souterraines considérables pour être le plus fort. Arabes ou Chelhas n'est pas l'essentiel du problème. Les nouveaux occupants des terres arabes de la Palestine entérinent en eux une longue histoire et une grande culture. Ils ont trouvé une terre sur laquelle les nations qui les ont massacrés les y ont installé. Une légitimité a été recherchée et le arabes du pétrole n'ont rien pu faire de leurs richesses et de leur nombre d'individus intellectuellement éparpillés et endormis ou virtuellement éveillés pour des plaisirs éphémères. Les pays développés ont tout fait pour que cette nouvelle agglomération d'individus venue de toute la terre, unie sous un nouveau drapeau soit si puissante et soit considéré comme pays européen installé en Asie au milieu des autres. A part, les moyens animalement naturels par lesquels ils ont conquis les terres arabes, à part leur intention sioniste et très souvent inhumaine, j'apprécie toute population qui fait appel au savoir de ses enfants pour bâtir une nation. En effet, il est temps que ces arabes proies ciblées de ce pays naissant à partir d'un groupe d'envahisseurs intelligents et stratèges prennent conscience des futures étapes qui les attendent. Pour écouler leurs armes les pays que les produisent doivent trouver des marchés et des terrains pour sa destruction. De même pour les pays qui ont de l’argent ou des services à fructifier ont besoins de preneurs potentiels et hypothécables. Les cibles les plus recherchées seront les pays ayant : des ressources pour pouvoir honorer les contrats de vente et les crédits, une population déchirée et chauffée pour s’entre tuer sans difficulté, des amis artificiels en position de spectateurs attendant des miettes du pays victime, et une population pouvant s’éliminer par soi même ou servir de bon esclaves pour payer des dettes à longues échéances. Sous couvert, d’ouverture et de démocratie non encore bien comprise notre printemps risque de nous faire oublier la sécheresse de l’été et des inondations de l’hiver. Les prédateurs des pays faibles et moins investis au savoir et aux recherches scientifiques et humaines calculent les secondes pour tomber sur les proies endormies et occupés par des querelles préméditées. Bien que venant de l’intérieur, les querelles intestinales des pays en développement sont en bonne partie planifiées par les lobbys qui en tirent des profits à court, à moyen et à long terme. Nous pouvons être plus heureux, moins dépendants et sans trop de richesses en sachant utiliser nos moyens avec des têtes bien faites. Réveillons nous, Réveillons nous, Réveillons nous, Réveillons nous….
Merci Laders pour cet espace d’expression responsable. Merci Dr Bouguerra pour ces informations à travers lesquelles un grand hommage est à adresser à tous les types Agassi sans distinction de langue et de religion. Les envahisseurs par la force de la terre de Palestine ont au moins le mérite de mettre le doigt sur l'essentiel qui réside dans l'usage du savoir pour résoudre des problèmes de l'humanité (ou leurs propres problèmes). En effet il ne faut pas être un milliard d'individus avec des tonnes d'or et des richesses souterraines considérables pour prétendre être le plus fort. Arabes ou Chelhas n'est pas l'essentiel du problème. Les nouveaux occupants des terres arabes en palestine entérinent en eux une longue histoire et une grande culture. Ils ont trouvé une terre sur laquelle les nations qui les ont massacrés les y ont installé pour les éloigner de l’enfer des nazis . Une légitimité a été recherchée ensuite et le arabes du pétrole n'ont rien pu faire de leurs richesses et de leur nombre d'individus intellectuellement éparpillés et endormis ou virtuellement éveillés pour des plaisirs éphémères pour libérer les terres conquises par le ruse et la force des armes. Les pays développés ont tout fait pour que cette nouvelle agglomération d'individus venue de toute la terre, unie sous un nouveau drapeau soit si puissante et soit considérée comme un pays européen installé en Asie au milieu des autres. A part, les moyens animalement naturels (analogie de comportement entre animaux y compris l’homme) par lesquels ils ont conquis les terres arabes, à part leur intention sioniste et très souvent inhumaine, j'apprécie leur organisation et leur recours au savoir de leurs enfants où ils sont pour bâtir une nation militairement et politiquement assez forte. De ce fait, il est temps que ces arabes proies ciblées de ce pays naissant à partir d'un groupe d'envahisseurs intelligents et stratèges prennent conscience des futures étapes qui les attendent. En effet, pour écouler leurs armes les pays qui les produisent (y compris ce pays naissant) doivent trouver des marchés et des terrains favorables à leur destruction. De même pour les pays qui ont de l’argent, des marchandise ou des services à fructifier, ont besoins de preneurs potentiels et hypothécables pour les écouler sans risques. Ainsi, les cibles les plus recherchées seront alors les pays ayant : des ressources pour pouvoir honorer les contrats de vente et les crédits, une population déchirée et chauffée pour s’entre tuer sans difficulté, une sécurité intérieure et extérieure affaiblie par plusieurs moyens, des amis artificiels en position de spectateurs attendant des miettes à récupérer du pays victime, et une population pouvant s’éliminer par soi même (sans frais à dépenser de la part de leurs prédateurs) ou servir de bon esclaves afin de payer de lourdes dettes à longues échéances. Sous couvert, d’ouverture et de démocratie non encore bien comprise, notre printemps risque de nous faire oublier la sécheresse de l’été et des inondations de l’hiver. Ces prédateurs calculent les secondes pour tomber sur les proies endormies et occupées par des querelles préméditées (pays actuellement faibles et moins investis au savoir et aux recherches scientifiques et humaines). Bien que venant de l’intérieur, les querelles intestinales des pays en développement sont en bonne partie planifiées et finement provoquées par les lobbys qui en tirent des profits à court, à moyen et à long terme aux bénéfices des grands prédateurs. En sachant utiliser nos moyens avec des têtes bien faites, nous pouvons devenir plus heureux, moins dépendants et plus aptes à détecter les virus d’où ils viennent et où ils se logent et éviter les multiples prédateurs qui nous guettent. L’amour des chaises et des richesses faciles font couler le bateau des pacifiques innocentes victimes endormies.
Tout le monde sait l'avance scientifique atteinte par l’État d’Israël et le retard manifeste des pays arabes.Seuls les dirigeants arabes feignent d'ignorer qu’Israël est un État démocratique, au moins pour ses citoyens juifs.La démocratie et la science ont convaincu, à juste titre, l'occident de miser sur Israël pour défendre leurs intérêts au Moyen-Orient et de l'encourager politiquement et financièrement.Comment renverser cette tendance en changeant nos priorités et notre approche des problèmes?Juifs, musulmans sont les frères ennemis depuis la nuit des temps.Comment les réconcilier, particulièrement dans cette partie du monde, pour établir une nécessaire coopération entre arabes et israéliens pour le bien de leurs peuples qui n'ont vu que des guerres depuis 60 ans ou plus?Monsieur Agassi a eu une bonne idée.Elle se concrétisera certainement un autre jour.Mais Agassi a fondé son projet sur la haine de l'autre et ce qui est insoutenable.En Tunisie, commençant par relever les fonds budgétaires et privés alloués à la science.Politiquement, reconnaissons ce que la communauté internationale a reconnu depuis 1947, a savoir l'existence de l’État d’Israël et cessons de réclamer à cor et a cri l'inscription dans dans la constitution de l'interdiction de toute relation avec Israël.Et si demain, l’État croupion palestinien concluait enfin, une Paix honorable avec Israël? Serions-nous plus royalistes que le roi pour ne pas reconnaitre Israël?Israël avance à pas de géants sur tous les plans et, nous autres, sommes en train de rêver à l'établissement d'un Califat hypothétique qui recouvrirait les pays musulmans avec une application anachronique de la charria.L'un vit son présent et se projette sur l'avenir et le second se recroqueville sur un passé révolu.L'espoir sera-t-il dans la jeunesse des deux camps qui devra se battre en faisant la distinction entre le sionisme et la religion juive?
Selem alikoum, Un article très intéressant et très vrai. Les arabes au lieu de miser sur la science, la recherche et l'éducation préfère soit consommer avec démesure (voyons le moyen-orient en particulier Dubai...) ou faire la guerre entre eux (Syrie, Egypte,...) La volonté se voit également en France : les enfants des juifs deviennent avocat, médecin, psychiatre, chercheur, ... les enfants des arabes terminent avec de petits boulots. C'est vrai nous devons prendre exemple et réussir à lier notre din l'Islam et la science (chose qu'avait réussi de nombreux anciens savants musulmans )
oui si Med.la recherche scientifique est une volonté politique en 1er lieu qui peut etre appuyer par une volonté sociale.pour les autres nations tout echec en la matiere devient un défi.Alors que ns les arabes,malgré tous les acquis et les attouts, notre amour étrenel est le désordre, l'analphabetisme et la mauvaise volonté.le 1er terme dans notre coran est "ecraa" c.à.d "lire".dans notre rélegion la science "?????" est une obligation pese sur l'homme et sur la femme sans distiction.les savents sont priviligiés.ect mais ns occupons la derniere place.l'assechement des puits de pétrole et certains et émminent. ainsi ns retournons au désert pour s'occuper des chameaux.c'est notre lieu naturel.ns pouvons vivre que dans l'ambre.notre peau est incompatible avec les lumieres. Israel est un ennemi respectable.le mal et le biens vient de ns.ou somme ns par rapport aux autres.ns somme dans la jungle.l'un tue l'autre. l'un bloc l'autre et chacun prétend la realité absolue alors que tous sont loin de la réalité.celle de l'interet géneral du pays et de la recherche scientifique. certainement "?? ???? ???? ?? ???? ??? ?????? ?? ???????"
EST-CE LA MÉTHODE COUÉ QU'UTILISENT LES NAHDHAOUIS ? A force de nous rabâcher une légitimité finie depuis le 23 octobre 2012, ils ont fini par croire qu'elle est illimitée et qu'ils sont toujours légitimes !
Le gros problème qui explique la quasi totalité des problèmes des arabes c'est que leur très grande majorité sont paresseux très paresseux physiquement et intellectuellement. Ils optent toujours vers la direction où il y a le moins voir pas du tout d'effort à fournir. Les gouvernants de tout bord sont un contre modèle pour les valeurs civilisationnelles réconfortant la populace dans ses choix malveillants. Les sociologues et autres spécialistes devraient décortiquer et éventuellement trouver une solution à cet handicap civilisationnel.
MLB l'auteur de ces lignes , qui c'est ? Et quelle leçon veut il nous donner ? Et d'au vient elle ? Effet de propagande ? effet de grand complexe ? Trafic d'influence ? Une si grande admiration est elle justifiée ? J'en doute , j'en doute ...