Changement An XXIII: Parlons d'Avenir

Toutes promesses tenues, ce grand tournant d’espoir amorcé le 7 novembre 1987, continue en ce XXIIIème anniversaire, à être porteur d’ambitions. Individuelles, pour tout un chacun et collectives, pour l’ensemble des Tunisiens. En deux décennies seulement, et malgré une conjoncture économique mondiale peu favorable et un environnement géopolitique exerçant ses pressions et aléas sur la région, tous les indicateurs ont été remis au vert, avec une croissance continue et une avancée significative comme en attestent les différents classements internationaux objectifs. A l’œil nu, circuler dans le pays, voir cette infrastructure, cet urbanisme, cette poussée de la jeunesse, cet engouement pour la science et le savoir, cette opulence dans les marchés et ce bien être généralisé, souligne l’ampleur des réformes introduites et illustrent les dividendes du renouveau.

L’ancrage de la parité féminine, la montée en puissance de la société civile, l’expansion des technologies de l’information et de la communication et la multiplication des rangs des jeunes élites dans tous les domaines, tracent les voies de l’avenir. Tribut imparable du développement, l’emploi des jeunes continuera sans doute à guider toutes stratégies conçues pour la Tunisie de demain. Le programme du Président Ben Ali pour l’horizon 2014, s’y attache avec grande détermination, structurant autour de ce grand impératif, l’ensemble des programmes et actions. Création d’entreprises, innovation technologique et recherche scientifique, promotion des exportations, refonte du système financier et bancaire, renforcement des systèmes d’éducation, d’assurances sociales et de soins de santé et confirmation de la vocation régionale de la Tunisie dans plus d’un secteur, doivent y concourir. Les perspectives sont largement ouvertes, avec une attention toute particulière en faveur de la jeunesse, placée au cœur du projet national.

L’impératif de l’économique et du social, deux fondements prioritaires et vitaux, ont porté leurs fruits, installant la société tunisienne dans la sécurité des crises qui pourraient la menacer. La consolidation institutionnelle, à travers la création du Conseil Constitutionnel et de la Chambre des Conseillers, le nombre de sièges réservés à la Chambre des Députés aux candidats des partis d’opposition, la multiplication des instances de régulation, le développement du rôle des conseils régionaux élargis aux représentants de toutes les familles politiques, et le respect total de l’indépendance des organisations nationales sont des acquis républicains précieux. La stabilité politique, grâce à la clarté de la vision et la cohésion des rangs autour des valeurs et choix consensuels, ont immunisé la Tunisie contre la déliquescence qui avait failli la ronger, dans les années 80. Dans ce pays remis au travail et à l’effort, à l’échelle de la famille comme à celle de la Nation, la moisson vient récompenser l’ardeur. Qui n’en a pas récolté sa part, à travers l’éducation de ses enfants, l’accès à la propriété du logement, de la voiture et au confort ménager, sans parler de sécurité et de bien être ?

Aspirationnistes, les Tunisiens sont cependant avides de plus de réussites économiques et sociales et de mieux de pluralisme. Garantir et poursuivre la croissance, accélérer l’avancée sur tous les fronts, hisser davantage les jeunes aux premiers rangs dans tous les domaines et à tous les postes, élargir le champ des libertés et multiplier les espaces d’expression et de débats : la feuille de route fixée par le président Ben Ali recueille un plébiscite inégalé.

C’est tout naturellement en lui que la confiance de la Tunisie est aujourd’hui, et plus que jamais placée pour parachever cette œuvre et relever les nouveaux défis du futur. Et c’est autour du Président Ben Ali que doivent se mobiliser en parfaite cohésion, toutes les énergies. Il y va de l’avenir de la Tunisie, de ses générations montantes et de la place de choix qu’elle mérite d’occuper dans le concert des nations.

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