Clôture en beauté du Festival arabe de la Radio et la télévision (Album photos)
Le rideau est tombé jeudi soir sur la 16e édition du Festival arabe de la Radio et la Télévision organisé par l’ASBU dans la médina de Marina Hammamet du 2 au 5 mai. Lors de la soirée de clôture, les ministres algérien, soudanais et koweitien de l’information ont été honorés.
Des prix ont été accordés dans les différentes compétitions réservées aux programmes des stations de radio et des chaînes de télévision arabes membres de l’ASBU. Des prix ont été réservés aux compétitions parallèles des programmes produits par les chaînes privées et et les sociétés de production, ainsi que les radios télévisées arabes et et étrangères arabophones.
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Curieux, surprenant, que vous osiez parler de beauté de ce fichu Festival de l'ASBU ! Un flop télévisé monumental pour ouverture, pour clôture un flop encore plus monumental, douloureux même ! Je me suis rarement autant senti humilié devant les TV arabes que le soir de la clôture, à commencer par les pannes de l'éclairage de cette soirée, jusqu'aux flops de la présentation ( pas celle des présentatrices, qui ont tenté de remédier comme elles ont pu à cette atmosphère guindée et fort peu conviviale), en passant par cette scène trop étriquée pour abriter dix personnes mais dans laquelle on a tenté de loger l'orchestre, les présentatrices, les officiels et les récipiendaires… Ouf ! Non, décidément, nous ne possédons pas encore l'art de présenter et d'animer une soirée de gala telle qu'on l'imagine en France ou en Italie ! Pourtant, ce ne sont pas les compétences qui nous manquent, ni encore moins l'argent : l'ASBU comprend les États les plus riches du monde !! Alors ?
Curieux, surprenant, que vous osiez parler de beauté de ce fichu Festival de l'ASBU !Un flop télévisé monumental pour ouverture, pour clôture un flop encore plus monumental, douloureux même ! Je me suis rarement autant senti humilié devant les TV arabes que le soir de la clôture, à commencer par les pannes de l'éclairage de cette soirée, jusqu'aux flops de la présentation ( pas celle des présentatrices, qui ont tenté de remédier comme elles ont pu à cette atmosphère guindée et fort peu conviviale), en passant par cette scène trop étriquée pour abriter dix personnes mais dans laquelle on a tenté de loger l'orchestre, les présentatrices, les officiels et les récipiendaires… Ouf ! Non, décidément, nous ne possédons pas encore l'art de présenter et d'animer une soirée de gala telle qu'on l'imagine en France ou en Italie ! Pourtant, ce ne sont pas les compétences qui nous manquent, ni encore moins l'argent : l'ASBU comprend les États les plus riches du monde !!Alors ?