Démarrage d'une enquête auprès des jeunes pour connaître leurs préoccupations et leurs aspirations
Elle touchera 10.000 jeunes âgés de 18 à 29 ans choisis selon la méthode des quotas et portera sur leurs comportements, aspirations, préoccupations, revendications et perspectives d'avenir et mobilisera 180 agents de l'INS.
Placée sous le signe "une jeunesse capable de relever les défis", conformément aux instructions du Président de la République, la 4ème consultation nationale de la jeunesse a démarré aujourd'hui par une enquête sur le terrain. Le coup d'envoi en a été donné, par les Ministres de la jeunesse des sports et de l'éducation physique et du développement et de la coopération internationale.
Il s'agira d'élaborer une étude approfondie sur la situation des jeunes, leurs comportements, leurs préoccupations et leurs aspirations, de manière à ce que les différentes structures concernées puissent prendre en compte toutes les données recensées dans l'élaboration et la mise en oeuvre des programmes de développement.
Les questions qui seront posées sont au nombre de 167 avec de nouveaux thèmes tels que l'appartenance culturelle, la notion de citoyenneté, le service national, le volontariat, les relations avec les médias, la lecture et l'utilisation de l'outil informatique et notamment de l'internet.
La deuxième étape débutera au mois de juin par le dialogue ouvert avec la participation de cent mille jeunes.
La consultation des jeunes est devenue une tradition bien ancrée dans notre pays. Son intérêt est de permettre une approche globale et une politique multidimentionnelle reposant sur une parfaite connaîssance des préoccupations de la jeunesse et de ses aspirations, lui ouvrant ainsi la voie à une participation effective à l'entreprise de développement. Elle démarre à la veille des travaux préparatoires de chaque plan de développement quinquennal de développement .
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Le choix consistant à s’appuyer sur les jeunes et à les impliquer dans la construction du futur était une des pierres maîtresses de la méthode initiée par les dirigeants tunisiens. Le discours politique du Président Ben Ali exprimait la volonté fervente de définir de manière conjointe l’avenir de la jeunesse et l’avenir de la Tunisie, comme l’avait dit le Président lors de son discours « Nous impliquons nos jeunes dans la construction de l’avenir, et nous les préparons à faire face aux défis du futur, parce que nous croyons fermement que l’avenir ne peut être construit que par les jeunes, avec eux et pour eux. » Et avec la croyance ferme que les jeunes étaient un atout pour relever les défis du développement et de la construction d’une société avancée et moderne, les années de changement en Tunisie ont témoigné de sessions de dialogues et d’espaces de conseils réguliers et successifs, avec pour objectif d’écouter les préoccupations et les ambitions des jeunes tunisiens, pour leur offrir de vraies et larges opportunités susceptibles de les amener à contribuer à l’esquisse des choix nationaux futurs. Le premier exemple en remonte à la consultation avec les jeunes organisée en 1986 sous le slogan “Tunisie du XXIème siècle”. un échantillon de dizaine de milliers de fils et de filles de Tunisie, dans différentes provinces. Cette consultation et ses résultats ont été utilisés, et un grand nombre de ses recommandations . S’ajoutant à ces réunions périodiques dédiées au dialogue avec les jeunes et qui étaient liées à des événements et des intérêts importants de la Tunisie…la Tunisie a travaillé à souligner ce dialogue et à définir ses débouchés en offrant aux jeunes un espace important dans le cadre de différentes structures de consultation nationales et d’instituts qui s’occupent des différentes facettes de développement, comme le Haut Conseil Sectoriel, où la jeunesse est représentée de manière à ce que le soient aussi ses aspirations et ses inquiétudes, à travers des orientations et des recommandations qui forment majoritairement la base sur laquelle sont fondés les projets et les programmes de développement préparés par le gouvernement, à l’issue d’ études et de recherches au cœur des institutions constitutionnelles, comme le sont le Parlement et le Conseil Economique et Social. Associations...Espaces de participation et partenariat...Les inquiétudes et les envies des jeunes recueillent une grande attention et sont prises en compte au sein des structures de la société civile et des composantes associatives. Il y a aujourd’hui en Tunisie plus de 8000 organisations et associations, grâce à l’implication croissante des jeunes tunisiens qui rejoignent ces réseaux par le biais des différents espaces qui leur sont offerts et des différentes activités qui ont pour vocation de satisfaire leurs besoins, d’épouser les tendances, en particulier dans les domaines scientifiques et environnementaux, dans le but d’éveiller la responsabilité des jeunes, d’accroître l’esprit d’initiative, de faire prendre racine au sentiment de citoyenneté et de la culture commune de la participation. une étude montre également une grande majorite des jeunes rejettent l'extrémisme religieux, et veulent s'identifier à un "Islam de modération et de la pondération". Ils estiment qu'il est nécessaire pour conserver un esprit ouvert au monde et "à l'autre" -- sydhost.net Mes Sincères Salutations RIDHA DEBBABI
il n'ya qu'une seule et unique preocupation pour nous les jeunes - primordiale voire vitale : L'EMPLOI : LA CLE DE TOUS NOS MAUX ET NOS PROBLEMES AUSSI BIEN PSYCHOLOGIQUES QUE MATERIELS -ACTUELS ET FUTURES- C'est le vrai casse -téte qui nous ronge et nous laisse dans le désarroi et la désorientation ?