Assassinat de Zouari : Les trois zones d’ombre qui restent à éclaircir, selon le ministre de l’Intérieur
Trois zones d’ombre au moins persistent encore pour élucider les circonstances de l’assassinat le 15 décembre dernier à Sfax de Mohamed Zouari, a indiqué le ministre de l’Intérieur, Hédi Mejdoub. Invité en audition mercredi matin devant la Commission Sécurité et Défense à l’ARP, il a mentionné trois grandes questions en suspens. D’abord, quelle est la nature de la relation de Zouari avec la résistance palestinienne, son importance peut en effet fournir des indices quant à la partie pouvant être la bénéficiaire de son meurtre ? Puis, qui sont les exécuteurs ? Et, en fin, qui a organisé leur exfiltration ?
Sans aller dans le détail, le ministre a affirmé que l’enquête se poursuit activement à différents niveaux.
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La députée de Sfax Soulef Ksonitini a reproché au ministre n’avoir pas désigné Zouari comme "martyr " C'est qd même du grand n'importe quoi! Un homme est assassiné dans nos rues et cette "élue" ne se préoccupe que de ce genre de stupidité! C'est vraiment consternant que la deuxième ville du pays soit représentée par "ça"!
Encore un héritage de la Revolution de la "karama" (sic). La notion de Martyr est galvaudée. Gloire aux vrais martyrs morts pour la mère Patrie Tounes, sans demander d'indemnisation, sans collaborer avec les pays étrangers, par pur sacrifice. Que savons nous de ce Monsieur ? Rien en vérité. Etait-il payé pour ses prétendus services rendus au Hamas ? Quelles étaient ses motivations ? Aujourd'hui les surencherisseurs se pressent pour en faire un héros, peut être ? Dans le doute on dit Allah yerhamou, et cela vaut à l'endroit où il est beacoup mieux que tous les vendeurs de pseudo légendes.