La Tunisie compte plus de 350 000 toxicomanes : que faire ?
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Enfin reconnaître l'existence de ce fléau donnne dèjà l'ampleur et je salue les mesures prises même timides c'est un début.Par contre je reste convaicu que dépénaliser les drogues douces c'est la porte ouverte aux drogues dures.Il y a un retour auu statuquo ante en Hollande et à l'expérience des coffee-shops.Les tunisiens ont du pain sur la planche pour des débats cruciaux,l'éducation et sa réforme,le chomage et comment creér des emplois,la liberté de création ,l'inégalité et j'en passe.Soignons les malades et n'ouvrons pas la boite à Pandore.
Il faut dépénalisé ation la drogue douce et arrêter de mettre des jeunes dans les prisons.Un grand nombre des jeunes (18 et 26ans)rencontré à Genève lors de l'arrivé massive de l'Ampedusa en février 2011 ont purgé une année de prison pour consommation de drogue douce .On sait aussi que ces jeunes sont les victimes du régime de Ben Ali ,pas de travail ni de culture ,ni des infrastructures sportives puisse s’épanouir. Il est temps aujourd'hui de dépénalisé la drogue douce et travailler avec la société civile avec des programmes de sensibilisation dans les écoles primaires et secondaire afin de radier ce phénomène mondial.
Que voilà un sujet PRIORITAIRE à traiter par ceux qui SE VEULENT les défenseurs de la morale et la vertu. N'est-ce pas? Sur ce sujet leur bonne action Trouvera un appui unianime De toute notre société.